Clin d’oeil : l’Arcep présente des plateformes d’expérimentations de la 5G dans une salle dépourvue de 4G
Une raison de plus de passer à la 5G ? Ironie du sort…
Sébastien Soriano, président de l’Arcep et Agnes Runacher, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances font actuellement le bilan de l’appel à la création de plateformes d’expérimentation 5G dans la bande de fréquences 26 GHz, lors d’une conférence de presse dans la Cité des Sciences à Paris. Présente sur place, Elsa, Bembaron, journaliste télécoms et tech au Figaro, s’est fendue d’une petite moquerie sur Twitter après s’être aperçue de l’absence de 4G dans la salle : “Hehe (rire du jour). L’Arcep présente 11 plateformes’d’experimentation 5G (dans la bande des 26GHz) dans une salle où la 4G ne passe pas, à la Cité des Sciences”. Est-ce un moyen pour le gouverment et le régulateur de montrer à quel point la 5G est nécessaire ? Humour.
Hehe (rire du jour)
L’Arcep présente 11 plateformes’dnexperimentation 5G (dans la bande des 26GHz) dans une salle où la 4G ne passe pas, à la Cité des Sciences. @ArcepElsa Bembaron🚒🠻â€â™€ï¸ðŸ¥ðŸ‹·â˜Žï¸ (@ElsaBembaron) October 7, 2019
Pour rappel, le Gouvernement et l’Arcep ont lancé conjointement en janvier dernier un appel à la création de plateformes d’expérimentations 5G dans la bande de fréquences 26 GHz, dite « bande millimétrique ». L’objectif est de favoriser l’appropriation par l’ensemble des acteurs des possibilités offertes par cette bande de fréquences, et d’identifier les nouveaux usages de la 5G.