Le neuvième Free Center vient d’ouvrir ses portes à Lorient. Rendez-vous au 5 place Aristide Briand pour profiter des nombreux services et des renseignements utiles qui vous seront fournis par toute l’équipe du Free Center.
Le neuvième Free Center vient d’ouvrir ses portes à Lorient. Rendez-vous au 5 place Aristide Briand pour profiter des nombreux services et des renseignements utiles qui vous seront fournis par toute l’équipe du Free Center.
Selon nos constatations, il n’est pas possible de souscrire à un abonnement ADSL depuis le portail Free. Il s’agit d’un bug de courte durée qui concerne les abonnements lorsque l’on connait le numéro de téléphone (ligne active à son nom ou numéro inactif de l’ancien occupant).
Nous avons remonté la problématique à Free qui ne manquera pas de rétablir au plus vite le dispositif d’abonnement.
Free recherche une infirmière du travail pour sa hotline, le Centre Relation Utilisateur de FREE et ALICE.
Mission :
Surveillance médicale des salariés :
Accueil physique/téléphonique et orientation vers différents services médicaux sociaux en fonction des problèmes rencontrés et/ou médecin du travail
Planification des visites médicales obligatoires et visites à la demande des salariés et convocations aux examens de surveillance spéciale à l’initiative du médecin du travail.
Préparation de la visite médicale : relever biométriques, examens de fonctions sensorielles et pratique de réactions de laboratoires simples, recueil des informations telles que vaccination, arrêts de travail depuis le dernier examen etc.
Assure le suivi des dossiers médicaux, tenue des registres et cahiers d’infirmerie, rédactions des rapports.
Suivi de l’approvisionnement du centre médical en matériel et fournitures médicales, et gestion du stock
Assure après les examens médicaux : l’acheminent des fiches de visite au service des Ressources Humaines, le contrôle des suites matérielles données aux demande d’examens complémentaires, la transmission des résultats au médecin du travail et le classement des dossiers médicaux.
Action médicale au sein de l’entreprise :
Contribue à l’information des salariés sur les problèmes de santé publique (alcool, tabac, hygiène alimentaire…..).
Contribue aux formations relatives aux risques professionnels, SST et aux recyclages
Prise en charge des soins :
Premiers soins d’urgence en cas d’accident du travail ou d’affection subite, avec utilisation du défibrillateur le cas échéant
Actes thérapeutiques exceptionnels et prescrits par les médecins traitants
Gestion de la pharmacie
L’infirmier(e) du travail ne pourra procéder aux actions de surveillance médicale qui incombent au Médecin du travail.
Informations complémentaires :
Rémunération à renégocier
· Statut non cadre
· 35 heures réparties du lundi au vendredi
Profil :
Titulaire du diplôme d’infirmière d’Etat ou DIUST (Diplôme Inter Universitaire de Santé au Travail) ou Licence professionnelle en Santé au Travail, avec expérience en entreprise.
Compétences :
Excellent sens relationnel, sens de l’écoute, empathie,
Capacité à mettre en confiance les collaborateurs et à détecter leurs inquiétudes éventuelles
Capacité d’analyse et de synthèse, sens aigue de l’observation
Discrétion, et patience
Capacité à travailler en équipe et à remonter les informations pertinentes dans le respect de la confidentialité
Connaissance de la réglementation en médecine du Travail
L’arcep a décidé, la semaine de revoir à la baisse la durée d’asymétrie de la terminaison d’appel octroyée à Free Mobile. Pour TradingSat, cette revue à la baisse en terme de durée n’est pas à l’avantage de Free Mobile puisque la modification du projet initial pourrait représenter un manque à gagner de près de 40 millions d’euros au second semestre 2013.
"Cette mesure sera vraisemblablement étendue aux SMS. Au total, cela devrait représenter pour Iliad un manque à gagner d’environ 40 M€ au S2 2013 selon notre estimation", a commenté hier matin un analyste du CM-CIC Securities.
Certes, la décision revue de l’Arcep permet à Free Mobile de conserver son avantage mais pour une durée moindre que prévue. Ainsi Free va tout de même facturer à partir du 1er août prochain 1,6 centime d’euro la minute de communication, comme initialement prévu, chaque appel émis vers l’un de ses abonnés depuis un client Orange, SFR et Bouygues Telecom (2,4 centimes jusqu’à présent). Contre 1 centime dans l’autre sens.
Ce traitement de faveur vise à corriger les règles de la concurrence afin de laisser aux nouveaux entrants une chance de s’installer sur le marché au regard de la différence de la base des abonnés. En avril, la Commission Européenne avait exprimé de sérieuses réserves quant aux projets de l’autorité française de régulation des télécommunications (ARCEP) d’appliquer des tarifs de terminaison d’appel mobile (TAM) plus élevés à Free Mobile, Lycamobile et Oméa Télécom. Ainsi, la fin de l’asymétrie prendra fin 6 mois plus tôt (au 1er juillet 2013 au lieu du 31 décembre 2013).
Hier, au petit matin, une dizaine de policiers sont intervenus pour permettre aux techniciens d’Orange de sécuriser un chantier d’installation d’antennes relais rue Marcadet, à Paris. Devant le collectif qui s’oppose à l’installation des antennes relais, l’opérateur doit désormais compter sur l’aide de la force publique.
Dans le XVIII, le conflit entre les riverains et l’opérateur dure depuis dix ans. L’installation des antennes a même été refusé à plusieurs reprises par la mairie en 2003 et 2006 même si celle-ci a finalement autorisé le chantier.
Devant l’opposition des riverains, la collectivité a finalement reculé en demandant à Orange de fournir une étude préalable sur les champs électromagnétiques dans le quartier. Pour être pertinente, cette étude devra analyser les chiffres avant et après la pose des antennes.
Le bras de fer n’est donc pas terminé et présage peut être d’un effet boule de neige qui pourrait perturber le déploiement réseau de Free Mobile qui construit actuellement son réseau sur les points hauts en France et à Paris.
Source : Le Parisien
Alors que le parlement vote définitivement le premier acte budgétaire du nouveau président de la république, PCINpact revient sur la hausse des frais de justice. Dans le lot des principales sources de coûts, les réquisitions des opérateurs tiennent une bonne place. Celles-ci visent notamment à obtenir les factures détaillées (FADET) des abonnés ou à organiser des interceptions de sécurité.
Le rapport parlementaire de la commission des lois note notamment que « les réquisitions des opérateurs de communications électroniques et les interceptions judiciaires ont aussi contribué à la hausse des frais de justice pénale ». D’avantage de réquisitions sur des prestations nouvelles ont été effectués faisant exploser la facture. Outre les demandes de factures détaillées ou encore les interceptions de sécurité, la géolocalisation, l’interception de communications électroniques, ces dernières prestations ne sont pas encadrés par décret laissant la liberté aux opérateurs de tarifer le cout de ces réquisitions.
En 2013 une plate-forme nationale des interceptions judiciaires (PNIJ) permettra de dématérialiser les réquisitions adressées par les OPJ aux opérateurs, ce qui facilitera l’établissement et le paiement des factures. D’ailleurs, « les frais seront payés par un budget opérationnel de programme de l’administration centrale, et non plus par les juridictions. »
Source : PCinpact
La base de données sur le cinéma, disponible sur Freebox Révolution s’invite sur la console Xbox 360. Ainsi,Microsoft continue de rapprocher sa console de l’audiovisuel français. Après la mise en place des chaînes de Canal Plus et de la vidéo à la demande, l’application Allociné s’invite sur la Xbox 360 pour les abonnés au Xbox Live Gold.
Comme sur Freebox Révolution, il est possible d’accéder aux données de la deuxième base mondiale sur le cinéma et les séries. Depuis votre player, la base documentaire vous permet de consulter facilement les fiches de films et de séries, les affiches, les bandes annonces, les castings ou encore les résumés, les notes de critiques ou des spectateurs. Les Freenautes ont également accès à la base des personnalités (acteurs, réalisateurs…) et peuvent procéder à des recherches via leur nom, prénom ou filmographie. L’usage est simple est pratique.
Depuis la Xbox 360, qui nécessite une connexion internet pour l’usage de cette application, la navigation se fait grâce au système de reconnaissance de mouvements et de la voix par Kinect. Les freenautes équipés de la console préféreront peut être effectuer leur recherche par ce biais plus ludique.
L’Arcep, l’autorité de régulation des télécoms a revu à la baisse la durée de l’asymétrie de la terminaison d’appel pour Free Mobile et souhaite également plafonner le prix des appels depuis un mobile dans l’Outre-Mer. Pour ce faire, elle organise une consultation publique en ce sens qui sera clôturée le 14 septembre prochain.
L’autorité de régulation propose donc de plafonner à un centime d’euro par minute « le tarif de terminaison d’appel vocal mobile » pour les opérateurs des départements d’outre-mer. Cette recommandation devrait prendre effet début 2013. Elle vise à faire baisser le prix des forfaits téléphoniques pour les ultramarins. Par cette mesure, l’Arcep estime que "ce niveau de tarif créer les conditions économiques d’un développement des offres d’abondance pour les communications mobiles ultramarines ainsi que pour les communications au départ de lignes fixes et à destination des mobiles, comme ce fut le cas en métropole".
Les abonnés des territoires ultramarins paient plus qu’en métropole. Dans un communiqué publié samedi, le ministre des Outre-mer Victorin Lurel a salué "des avancées très significatives en matière de convergence de tarifs de téléphonie mobile entre l’Hexagone et les départements des outre-mer". Ainsi, l’écart entre les terminaisons d’appel mobiles ultramarines et métropolitaines ne sera plus que de 0,2 centimes d’euro par minute ce qui devrait favoriser l’inclusion des communications entre les deux continents dans les forfaits métropolitains.
A l’issue de la consultation publique sur les terminaisons d’appels entre la métropole et les départements d’outre-mer, le projet de décision sera soumis à Bruxelles et aux autorités de régulation des autres pays de l’Union Européenne. L’Arcep pourra alors adopter sa décision définitive à l’automne.
Source : La Tribune
Nous vous en parlions la semaine dernière, le gouvernement veut « clarifier les rôles respectifs de l’Etat, des opérateurs et des collectivités locales » pour la rentrée. Ainsi il a convié une cinquantaine d’invités autour d’une table ronde sur le sujet du très haut débit. A Bercy, vendredi matin, sous la houlette des nouveaux ministres concernés, Free, Orange, Bouygues, SFR mais aussi Eutelsat, pour le satellite, et Numéricable, le cablo-opérateur, eux aussi acteurs du très haut débit, la fédération des télécoms (FFT), l’Arcep, ou encore Axione (filiale d’ETDE, groupe Bouygues), les industriels de la FIEEC, l’AFDEL (les éditeurs de logiciels) et bien sûr des élus et représentants des régions se sont réunis pour dessiner le très haut débit d’ici 2022.
« Cette réunion a permis de remobiliser l’ensemble des acteurs de ce chantier capital et d’évoquer les évolutions nécessaires du plan national Très haut débit » se félicite le cabinet de Fleur Pellerin. Son de cloche quelque peu différent pour un participant : « On ne peut rien dire dans ce genre de grand-messe, il n’y a pas eu de véritable échange ». Il faut dire que la rencontre n’avait pas pour but de conduire à une décision et que les discussions vont continuer pendant l’été sous la forme de questionnaires ou d’un forum en accès libre ou restreint, afin de bâtir une feuille de route pour la rentrée de septembre.
Ces discussions ont pour but de préciser la feuille de route concernant le déploiement de l’internet à très haut débit par fibre optique, de régler les différends qui opposent les collectivités locales et les opérateurs : la tenue des engagements de déploiements des opérateurs. Pour ce faire, le gouvernement a émis le souhait de transformer le « guichet A » du Grand emprunt, soit 1 milliard d’euros de prêts aux opérateurs non utilisés, en prêts aux collectivités, ainsi que la possibilité de mobiliser des financements, notamment européens, tels que les « project bonds », ces emprunts mutualisés qui permettent de financer des projets d’infrastructure, via la Banque européenne d’investissement (BEI), mais aussi le recours à la future Banque publique d’investissement (BPI). Le gouvernement souhaite aussi revoir la taxe Copé qui a pour but de financer l’arrêt de la publicité sur France Télévision pour le déploiement de la fibre optique : une fiscalité de 0,9% sur le chiffre d’affaires des opérateurs télécoms.
Source : La Tribune
Cette semaine Free a dégroupé trois nouveaux NRA en Haute Normandie. Il s’agit de :
CLE76 : Clères
VIE27 : Le Vieil-Évreux
PAU27 : Pont-Authou
Les freenautes reliés à ces NRA vont progressivement être migrés sur le réseau Free et pourront disposer du service de télévision. Si vous souhaitez bénéficier du dégroupage total en même temps que cette migration, vous pouvez l’indiquer dans votre console de gestion sur le site Free.
source : stats-dégoupage
Face à l’impact de Free Mobile sur le secteur de la téléphonie mobile en France, les opérateurs concurrents ont levé la menace des pertes d’emplois : un argument qui a même convaincu le ministre du redressement productif, Arnaud Montebourg qui a par ailleurs quelque peu retourné sa chemise.
Outre la piste d’une participation d’une vingtaine de centimes par abonnés envisagé par le ministre pour maintenir l’emploi en France dans le secteur, le récent appel d’offre de la Région Ile de France relance le débat. Contraint par la réglementation des appels d’offre, le centre d’appels Webhelp vient de perdre sa prestation d’assistance pour le Stif, le Syndicat des transports d’Ile de France au profit d’un centre d’appel marocain.
Du coup, pour éviter la perte de 80 emplois, le gouvernement pourrait réformer le code des marchés publics, instituer de nouveaux critères pour interdire le dumping social. Le prestataire qui proposerait des tarifs moindres ne serait pas systématiquement retenu.
Attention tout de même, cela ne concerne en rien le cas des centres d’appels des opérateurs puisqu’il s’agit de réformer les appels d’offre des marchés publics.
Source : Le JDD
Mise à Jour : Les Numériques apporte une mise à jour de leur comparatif, qui remet en cause les conclusions initiales. "Nous titrions sur un tarif moins cher chez Orange que chez Free sur 1 an. Je vous présente mes excuses. La faute à une absence de mise à jour de paramètres sur l’ordinateur simulant les abonnements sur orange.fr. Le tarif réel sur 1 an pour Orange est de 1000 € environ, et non moins de 900 € comme écrit initialement." explique Les Numériques.
Un nouveau tableau comparatif a ainsi été publié dans lequel le Galaxy SIII est bien plus cher chez Orange que chez Free ou B and You par exemple
Article initial :
Depuis que le gouvernement a mis sur la place publique le débat sur le système du subventionnement du mobile, une aubaine pour Free qui attaque à ce sujet son concurrent SFR, un certain nombre d’acteurs s’expriment sur le sujet.
Dans un récent billet soulevant l’idée qu’avec ou sans Free Mobile, le modèle du subventionnement s’essouffle, nous avons repris l’étude comparative du site lesnumériques.com qui vient d’être mise à jour.
Cette fois si, l’étude s’arrête sur le prix du dernier Samsung, le Galaxy SIII avec un abonnement. Et sur courte durée, la conclusion change, le prix du SIII devenant plus cher chez Free que chez Orange ! Free a choisi de séparer le terminal de l’abonnement impliquant un tarif global le plus souvent moins cher qu’un abonnement subventionné sur 24 mois.
Dans le cas d’un changement de terminal chaque année, la formule d’Orange est plus avantageuse car contrairement à SFR et Bouygues, Orange propose le même prix d’achat de mobile et de forfait, que l’on souscrive sur 1 ou 2 ans. La première année, les tarifs de 6 offres sur 8 sont très serrés, ils sont proches : de 830 €, de 803 € chez Numericable à 864 € chez Bouygues et son format Eden, pourtant à 74,90 € par mois. Sur un an, l’offre Orange est donc la 2ème moins chère, à 829 €, juste devant Free (835 €) et B&You (837 €).
Source : Lesnumériques
Free poursuit le développement de ses boutiques et annonce qu’il ouvrira prochainement un Free Center à Grenoble. A cet effet, l’opérateur a lancé les recrutements des managers et conseillers pour cette ville.
CONSEILLER(E) FREE CENTER GRENOBLE
MANAGER FREE CENTER (H/F) GRENOBLE
La décision du régulateur des télécoms sur le coût des terminaisons d’appel à l’avantage de Free Mobile pourrait influencer le titre de sa maison mère, Iliad en bourse.
Le titre iliad se situe dans une tendance à la hausse depuis un an. Des phases d’accélérations se succèdent. Récemment une vague haussière a permis aux cours d’inscrire de nouveaux plus hauts historiques à 116,30 EUR avant de se replier.
Ce matin, le titre Iliad est 113.7€ à -0.22%. Au regard des évolutions de ces derniers jours, la bourse ne semble pas réagir négativement à la réduction de six mois le délai pendant lequel Free Mobile et les Full MVNO bénéficieront d’une terminaison d’appel asymétrique avantageuse qui finira au 1er juillet 2013 et mettra l’ensemble des opérateurs à égalité.
Source : Le nouvel Observateur
Les abonnés Free Mobile au forfait illimité en vacances qui utilisent un iPhone peuvent transformer leur mobile en modem. Pour utiliser le partage de connexion de l’iPhone, rendez-vous dans le menu "réglage" de votre iPhone, puis dans la rubrique Partage de connexion. Il ne s’agit bien sûr pas d’un nouveau service mais les 3go en Fair Use peuvent s’avérer utiles si vous n’êtes pas à proximité d’un réseau wifi sur votre lieu de vacances.
Il suffit d’activer le service, choisir les modalités de connexion (wifi, cable usb ou Bluetooth) ce qui permettra à votre PC de se configurer sur la connexion. A noter qu’en liaison wifi, il faut rechercher le réseau sans fil depuis votre ordinateur. Votre iPhone affichera "partage de connexion en cours".
Certains freenautes n’ont pas accès directement au menu "partage de connexion". Il faut, dans ce cas se rendre dans les réglages, rubrique "Général", menu "Réseau" et enfin "Réseau de données cellulaires". Une fois dans le menu "Partage de connexion", il faut renseigner le champ "free" sur la ligne "Nom du point d’accès". Une fois la chose faite, retournez dans la rubrique partage de connexion.
Free vient de relier quatre nouveaux NRA à son réseau. Il s’agit de :
SOV30 : Sauve
NSU11 : Narbonne Sud
ALI34 : Alignan-du-Vent
V7E34 : Vendres
Les freenautes reliés à ces NRA vont progressivement être migrés sur le réseau Free et pourront disposer du service de télévision. Si vous souhaitez bénéficier du dégroupage total en même temps que cette migration, vous pouvez l’indiquer dans votre console de gestion sur le site Free.
source : stats-dégoupage
Cette semaine Free a dégroupé cinq nouveaux NRA au Pays de La Loire. Les répartiteurs concernés sont :
LOJ49 :Longué-Jumelles
SML49 :Saint-Mathurin-sur-Loire
ROS49 :Les Rosiers-sur-Loire
MEN49 :La Ménitré
NDM85 :Notre-Dame-de-Monts
Les freenautes reliés à ces NRA vont progressivement être migrés sur le réseau Free et pourront disposer du service de télévision. Si vous souhaitez bénéficier du dégroupage total en même temps que cette migration, vous pouvez l’indiquer dans votre console de gestion sur le site Free.
source : stats-dégoupage
Cette semaine Free a relié quatre nouveaux NRA à son réseau. Il s’agit de :
BIP40 : Biscarrosse Plage
ATG64 : Artiguelouve
9AB33 : Abzac
SPN64 : Saint-Pée-sur-Nivelle
Les freenautes reliés à ces NRA vont progressivement être migrés sur le réseau Free et pourront disposer du service de télévision. Si vous souhaitez bénéficier du dégroupage total en même temps que cette migration, vous pouvez l’indiquer dans votre console de gestion sur le site Free.
source : stats-dégoupage
Cette semaine, Free a raccordé cinq nouveaux NRA à son réseau. Il s’agit de :
HMB06 : Menton
ACR13 : Arles
LLV83 : Le Val
COT83 : Cotignac
CAC83 : Carcès
Les freenautes reliés à ces NRA vont progressivement être migrés sur le réseau Free et pourront disposer du service de télévision. Si vous souhaitez bénéficier du dégroupage total en même temps que cette migration, vous pouvez l’indiquer dans votre console de gestion sur le site Free.
La Ministre déléguée en charge de l’économie numérique, Fleur Pellerin, en association avec la Ministre chargée de l’égalité des territoires, Cécile Duflot, a organisé une table ronde sur le Très haut débit aujourd’hui. Lors de cette rencontre, l’AVICCA a proposé la création d’une contribution sur les abonnements mobiles, d’un euro par mois et par abonné en moyenne, pour financer la mise à très haut débit de notre territoire, et a rappelé les propositions adressées au Président de la République il y a quelques semaines.
Dans son communiqué, l’association note que l’arrivée de Free Mobile a entrainé une baisse considérable des prix, à la fois pour les clients de Free, mais aussi pour ceux des autres opérateurs, obligés de mettre en place de nouveaux tarifs pour résister à cette concurrence. Si le haut débit fixe a toujours été proposé en France à un prix attractif, le mobile dégageait des marges très importantes, pour ne pas dire indécentes. Certains opérateurs encore très profitables font ainsi pression sur l’emploi pour maintenir leurs marges, ce qui est plus que contestable. Ce n’est certes pas une raison pour revenir à un oligopole et entraver la convergence fixe-mobile qui est indispensable. Un jeu à quatre opérateurs est plus ouvert que lorsque trois seulement se partagent un marché depuis de longues années.
« On mesurera mieux avec le temps la baisse des coûts pour les consommateurs, sans doute de 5 à 7 € par mois. N’y a-t-il pas là de quoi reprendre un euro, pour mener un autre chantier qui, lui, ne peut être mené par la concurrence : le passage au Très haut débit sur le fixe ? Une nouvelle infrastructure est beaucoup trop chère pour les opérateurs. Une telle contribution, somme toute très modeste, sur les abonnements permettrait de financer la généralisation de la fibre optique jusqu’à l’abonné, un chantier aujourd’hui en chute libre dans notre pays » argumente l’avicca. Pour ne pas imposer un système injuste, l’association propose un euro symbolique au prix proportionné par rapport au tarif de l’abonnement.
BeInSport 2 diffusera ses premiers programmes à 20h00. Pour le lancement de la deuxième chaîne sportive du groupe qatarien, la chaîne affichera le championat de France de Ligue 2 en multiplex.
Pour l’instant, la chaine BeIn Sport 2 affiche un compte à rebour. L’ensemble des matchs de la ligue 2 programmés seront visibles sur le canal 47 et 401 à 408 sur Freebox TV.
A partir de 20h30 :
Angers – Sedan
Auxerre –Nîmes
Châteauroux – Laval
Dijon – Guingamp
Gazélec Ajaccio – Caen
Le Havre – Arles
Nantes – Istres
Niort – Clermont
Samedi 28/07 : à 14h sur beIN SPORT 1 : Lens – LeMans
Lundi 30/07 : à 00h00 en léger différé sur beIN SPORT 1 : Monaco – Tours
Source : Bein Sport
L’ouragan Free Mobile ne serait plus ! Après Orange qui annonce un retour des abonnés, c’est au tour de Virgin Mobile d’annoncer que l’effet Free Mobile n’est plus. L’opérateur virtuel a gagné 57 000 clients au deuxième trimestre notamment grâce au succès de la gamme Extaz.
Ainsi, Orange a annoncé hier avoir perdu 155 000 clients au 2ème trimestre contre 600 000 auparavant. Aujourd’hui, Virgin Mobile annonce avoir gagné entre mars et juin 57 000 clients forfaits.
"Ces résultats sont directement induits par le lancement de la nouvelle gamme de forfaits EXTAZ en janvier 2012, mais aussi par le déploiement de son modèle d’opérateur mobile dégroupé (full MVNO) reposant sur la signature simultanée de deux accords d’itinérance avec Orange et SFR. Cette situation unique lui confère une capacité d’arbitrage en matière de coûts et de qualité lui permettant de maintenir un niveau d’excellence reconnu par ses 2 millions d’abonnés" a indiqué le groupe Oméa Télécom, maison mère de l’opérateur virtuel
Virgin Mobile note également le succès de son offre quadruple play.
Source : ZDnet
Si SFR et Bouygues essuient encore les plâtres du lancement de Free Mobile, Orange résiste mieux au nouveau venu. Ainsi, l’opérateur, affecté par Free Mobile, a annoncé avoir divisé par 4 ses pertes nettes de clients mobiles. Au-delà des chiffres relatifs au parc d’abonnés mobiles, les finances de l’opérateur profitent de la manne de l’itinérance entre Free Mobile et Orange.
En effet, le ticket payé par Free pour utiliser le réseau de l’opérateur historique permet "la résistance à la révolution" grâce au milliard d’euros sur trois ans. Ainsi, les revenus semestriels de l’activité stagnent ce qui permet à France Télécom de maîtriser la décélération du bénéfice au niveau du groupe pour une dette de 31 milliards, d’embaucher 10 000 personnes en trois ans et d’augmenter les salaires de 2,2% cette année même si une baisse de 10% du revenu annuel par abonné mobile est annoncé.
Au final, l’apport de Free Mobile va aussi permettre au groupe d’investir et de distribuer aux actionnaires 40% à 45% d’un cash-flow en bonne voie d’approcher les 8 milliards en 2012. Cela dit, le mariage ne vaut que pour trois ans. Et l’histoire de Téléfonica montre bien que cette bonne santé peut être de court terme.
Source : Les Echos
Hier, nous vous informions d’une méthode simple et pratique permettant d’éjecter le support média inséré dans le lecteur Blu-Ray de votre Freebox Révolution au moyen de la télécommande. En effet, en appuyant simultanément sur la touche AV et la flèche du haut, le CD, DVD ou Blu Ray est éjecté.
Vous nous faites également remarquer dans le forum de l’article qu’il est également possible de verrouiller la télécommande en appuyant en même temps sur la touche AV et bas. Cette fonction peut s’avérer utile avec vos enfants.
Pour mémoire, l’action AV et FREE sur les touches de la télécommande désactive celle-ci. Pour associer de nouveau la télécommande, appuyez simplement sur le bouton reset situé derrière le boitier player.
Des policiers comme dans les films, La méthode des pickpockets, Un cours d’argent pour les enfants, Un pantalon à air conditionné, Laura Flessel aime la France, Une pub peu ordinaire …. Voici le zapping télé du 26 juillet 2012 !
Avec notre partenaire ZAP télé
L’entrée de Canal + dans le PAF gratuit n’est pas pour plaire à TF1 qui en appelle au CSA pour durcir les obligations de Direct 8. Nonce Paolini estime que le discours de la chaîne cryptée diffère des intentions réelles sur la télévision gratuite. Il veut aussi retourner voir l’Autorité de la concurrence afin de renégocier les conditions de commercialisation de la régie TMC et NT1, pour l’instant séparée de celle de TF1.
Avec le retour probable de la publicité sur France Télévision et l’arrivée de Direct 8, le groupe TF1 s’inquiète de ses revenus publicitaires. Le patron de la Une s’inquiète des faibles engagements demandés à Canal + dans le cinéma. la filiale de Vivendi a promis de limiter à 20 films français par an le pré-achat de droits couplés gratuits/payants. « C’est insuffisant. Cela laisse des marges de manœuvre très importantes à Canal Plus pour imposer ses conditions. TF1 Production co-produit 15 films par an, M6 entre 5 et 6, France Télévisions 4-5. Canal va venir sur ces créneaux et peser de tout son poids», s’est inquiété le PDG qui réagissait en marge de la présentation de ses résultats.
Pour éviter le drame, Nonce Paoli souhaite donc que le CSA intervienne pour durcir les obligations de Direct 8 en matière de production et de diffusion. « Nous avons dit qu’il fallait que Direct 8 revienne à sa vocation première de chaîne du direct. Au départ, Bertrand Meheut [le patron de Canal Plus] disait que ce serait une chaîne destinée aux CSP+, qui miserait sur la qualité, avec des films et des talks. Depuis, il a recruté Cyril Hanouna, va mettre à l’antenne La Nouvelle Star, ou The Amazing Race [un Pékin Express américain], des programmes orientés CSP+ comme chacun sait. La chaîne aura un budget de 120 millions d’euros, alors qu’il s’agissait de 60 millions d’euros au départ. On nous raconte des calembredaines. Il a une différence entre les intérêts affichés et la réalité», a dénoncé le PDG.
Source : La Tribune
Nous vous en informions, entre Canal + et l’autorité de la concurrence, rien ne va plus. Si l’instance a donné son feu vert pour le rachat de Direct 8 et Direct Star, ses recommandations ne sont pas du gout de la chaîne cryptée qui a annoncé envisager le recours auprès du Conseil d’Etat.
Si la bataille n’est donc pas finie entre Canal + et l’autorité de la concurrence, Bercy prend quelque peu de distance avec certaines mesures de l’autorité et pourrait, de manière exceptionnelle reprendre la main sur le dossier. Ainsi, dans son combat contre l’autorité, le groupe Canal + pourrait obtenir l’appui du gouvernement. La loi prévoit en effet que le ministre de l’Economie peut se saisir lui-même d’une décision de l’Autorité de la concurrence dans certains cas.
Si tel devait être le cas, le ministre s’appuierait alors très vraisemblablement sur l’appréciation du commissaire général du gouvernement. Ce dernier a rendu le 5 juin à l’Autorité de la concurrence un avis jugé plus clément dont cette dernière a forcément tenu compte pour la rédaction de ses injonctions.
Dans cet avis, dont « Les Echos »ont eu copie, Bercy qualifie de « disproportionnée » l’hypothèse de séparation des activités d’édition (Canal+) et de distribution (CanalSat) du groupe Canal+. Le ministère considère que cela reviendrait à « prévoir des remèdes allant au-delà de la correction des effets de l’opération notifiée ». Elle estime aussi « disproportionnée » l’une des mesures phares retenue par l’Autorité : celle consistant à mettre à disposition des fournisseurs d’accès Internet toutes chaînes cinéma de Canal+.
Dans le cas où les injonctions de l’autorité seront retenues, le dégroupage de la totalité des chaines cinéma éditées par Canal+ (sauf les chaînes Canal+ elles-mêmes) sont concernées. Il s’agit donc Ciné+ Star, Ciné+ Club, Ciné+ Classic, Ciné Famiz, qui sont déjà proposées dans les bouquets des FAI, mais également Ciné+Premier, Ciné+ Frisson et Ciné+ Emotion, et enfin d’autres nouvelles chaînes Cinéma que Canalsat pourraient éditer à l’avenir. Concernant les chaînes cinéma d’Orange, outre le fait que Canal+ devra céder sa participation, il avait de toutes façon été annoncé par le groupe qu’elles seraient disponibles dans le bouquet TV des FAI.
Source : LEs Echos
La ministre de l’Economie numérique Fleur Pellerin va présenter à la rentrée une feuille de route concernant le déploiement de l’internet à très haut débit par fibre optique, a-t-elle indiqué mercredi lors d’une audition devant la commission des affaires économiques du Sénat.
La Commission des affaires économiques du sénat a auditionné, en commun avec la commission du développement durable, Fleur Pellerin, ministre chargée des petites et moyennes entreprises, de l’innovation et de l’économie numérique.
"En lien avec Arnaud Montebourg (ministre du Redressement productif) et en associant Cécile Duflot (ministre du Logement), je présenterai à la rentrée une feuille de route précise sur ce sujet qui sera issue d’un processus de concertation qui commence dès ce vendredi", a indiqué la ministre. Demain, une réunion sur le Très haut débit (THD) doit se tenir au ministère de l’Economie en présence notamment du ministre du Redressement productif.
Concernant l’accès à internet, "nous ne sommes pas au niveau de l’attente des Français", a déclaré Mme Pellerin, rappelant que "près de 50% d’entre eux n’ont pas accès à un internet haut débit lui permettant d’avoir accès à une offre triple-play de qualité", souvent dans les zones périurbaines ou rurales.
Pour la ministre, il y a un manque de concertation entre élus et opérateurs. Elle considère également que le programme national très haut débit a créé beaucoup de frustration. "Le président de la République alors candidat s’était engagé à couvrir l’intégralité du territoire en très haut débit en 10 ans". Mais pour "réaliser cet objectif et pour agir efficacement", la ministre a estimé qu’il fallait dans un premier temps "clarifier l’objectif de couverture". "Compte tenu des disparités territoriales il faut réfléchir en parallèle du déploiement du THD à l’objectif d’un vrai haut débit pour tous dès la fin du quinquennat", a-t-elle assuré.
Par ailleurs, Mme Pellerin veut arriver à une "clarification des rôles respectifs de l’Etat, des opérateurs et des collectivités locales", dans les zones rurales où l’autorité des télécoms (Arcep) préconise le co-financement.
Source : AFP
Le prépayé décroît en France, voici ce qui ressort des derniers chiffres communiqués par Orange. L’opérateur historique a en effet le trimestre dernier dû faire face à l’érosion de son parc abonné notamment dans le mobile, 387 000 abonnés et 228 000 clients prépayés, soit 615 000 clients en moins. Pour le deuxième trimestre, l’érosion s’estompe même si l’opérateur accuse encore une perte de 155 000 clients pour une augmentation de 27 000 en juin.
Au total, l’opérateur historique compte 19,152 millions d’abonnés (+0,7 % en un an) et 7,169 millions clients prépayés (-6,1 % en un an). Les abonnés représentent aujourd’hui 72,8 % des clients mobiles d’Orange France. En attendant les chiffres de Bouygues, SFR et Free Mobile, la tendance montre une baisse des abonnements prépayés. La cause se trouve peut être dans le forfait à 2€ proposé par Free. Quoi qu’il en soit, si les clients prépayés Orange sont partis massivement les abonnés aux forfaits (post-payés) sont revenus. Ils ont ainsi été 86 000 à rejoindre l’opérateur. Ils étaient pourtant 387 000 à partir lors du trimestre précédent.
Free Mobile n’a pas détaillé lors de la dernière présentation de ses chiffres, la part d’abonnés au forfait 2€. Au 31 mars 2012, Free a totalisé 2,6 millions d’abonnés à Free Mobile.
Source : PCINpact
Dans son magasine du mois, Micro hebdo s’intéresse à l’éventuelle baisse du prix des Smartphones. Après avoir revu les forfaits à la baisse, Free va t-il faire chuter le prix des Smartphones ?
Bouleversant le modèle économique du mobile français, attaquant SFR sur le subventionnement du terminal, Free dissocie son offre du terminal. Cela dit, le mobile est du coup vendu "au vrai prix" alors que le système opaque du subventionnement semble plus intéressant même s’il s’agit en fait d’une opération qui peut s’avérer coûteuse pour le consommateur. Le site lesnumeriques.com a récemment opéré un travail comparatif sur les différences de prix notamment sur le Samsung Galaxy Ace. Selon une offre de huit opérateurs, dont quatre qui séparent bien l’achat du téléphone et le prix du forfait, les offres de Free et Numericable, les moins chers, ont coûté 1.000 euros de moins que celle d’Orange et de SFR après 24 mois.
Pour Micro Hebdo, les terminaux vont tout de même continuer à bien se vendre mais les opérateurs et fabricants vont devoir diminuer leurs prix pour garder leurs part de marché. D’après l’institut GfK, le prix moyen d’un smartphone, hors subventionnement, sera de 333€ en 2012 contre 372€ l’an dernier et 422€ en 2010. L’institut constate également une augmentation des téléphones vendus en nu, en hypermarché et sur internet.
En mars, Free a baissé le tarif de ses téléphones disponibles dans sa boutique en ligne : une baisse importante puisque par exemple, le tarif du Samsung Galaxy SII passe de 479 euros à 414,50 euros.
Avec l’arrivée de Free Mobile, l’opérateur historique a annoncé aujourd’hui avoir divisé par quatre ses pertes nettes de clients mobiles sur la période d’avril à juin 2012, par rapport aux trois premiers mois de l’année.
A l’occasion de la publication de ses résultats trimestriels, le groupe France Télécom – Orange annonce avoir retrouvé sa dynamique commerciale sur le mobile en France au deuxième trimestre. Au cours du deuxième semestre le nombre d’abonnés disposant d’un forfait mobile Orange a baissé de 155 000 pendant le deuxième trimestre 2012 contre une perte de 615 000 au premier trimestre. En juin, le parc client augmente de 27 000 clients.
Pour France Télécom, cette croissance est liée à l’effet Sosh, le rempart low cost à Free Mobile vendu uniquement sur internet. Au 30 juin 2012, Sosh compte 367 000 clients. De plus, ces résultats positifs profitent de l’offre quadruple play Open (2,1 millions de clients) et des nouvelles offres Origami, explique l’opérateur historique dans son communiqué du jour. Sur le mobile, la part de marché de l’opérateur s’est stabilisée à 38,1% au 30 juin après 38,3% à la fin mars.
Commentant les résultats du 1er semestre 2012, Stéphane Richard, Président-Directeur Général de France Télécom-Orange a déclaré : « Dans un contexte macro-économique difficile, je tiens à souligner la solidité de nos résultats semestriels et particulièrement la bonne résistance des activités mobiles en France, en nette amélioration par rapport au premier trimestre, avec un retour à une croissance de notre parc de clients forfaits au mois de juin. L’Espagne et les pays émergents continuent de soutenir les résultats du Groupe avec une croissance de leur chiffre d’affaires de respectivement 4,8% et 6,2% sur le semestre. Nous poursuivons par ailleurs le déploiement de nos réseaux très haut débit fibre et 4G, moteurs de notre croissance future. Je me réjouis également des récentes prises de position des pouvoirs publics, tant européens que nationaux, quant à l’importance de notre secteur en matière d’investissements, d’emplois et de croissance. Enfin les derniers résultats du baromètre social témoignent de l’apaisement du climat interne et du renforcement de la cohésion sans lesquels ces résultats n’auraient pu être réalisés. »
En ce qui concerne le contrat d’itinérance Free Mobile – Orange, nous avons contacté le service presse d’Orange et nous ne manquerons pas d’y revenir dès que nous obtiendrons des informations.
Depuis hier, la mise à jour du terminal ZTE F 160 vendu par Free est disponible.
La page de l’assistance mobile consacrée aux mises à jour des téléphones ZTE proposés par Free vous propose donc la mise à jour suivante :
Lien direct vers le logiciel de mise à jour pour ZTE-F160 (66 Mo .exe)
Il vous suffira d’exécuter ce fichier une fois téléchargé et de suivre les consignes à l’écran pour procéder à la mise à jour de votre téléphone ZTE
Vous pouvez aussi consulter la page officielle du ZTE
Depuis ce matin, 8h45, les voyageurs qui vont emprunter le Tunnel sous la Manche pour se rendre en Angleterre – via les trains à grande vitesse : le Shuttle ou les opérateurs ferroviaires (Eurostar) – pourront désormais utiliser leur portable pendant leur traversée sous la mer. Une prouesse technologique réalisée par Alcatel-Lucent, en coopération avec Orange, SFR, Bouygues Telecom et les équipes d’Eurotunnel.
A quelques heures de la cérémonie officielle d’ouverture des Jeux Olympiques de Londres, Eurotunnel vient d’annoncer la mise en service, réussie, de la téléphonie mobile dans le tunnel sous la Manche. L’application des technologies de pointe mises au point par Alcatel-Lucent et les opérateurs de l’industrie des télécoms (Orange, SFR et Bouygues Telecom) a permis de réaliser plusieurs prouesses technologiques et ce, dans un délai extrêmement court.
Offrir un service sans fil permettant de téléphoner et de surfer sur l’internet mobile, 100 mètres au-dessous du niveau de la mer, aux 20 millions de voyageurs qui empruntent les 53 km du Tunnel tous les ans a impliqué la résolution de plusieurs défis note Alcatel dans son dossier de presse.
Par ailleurs, l’environnement confiné a demandé le respect de normes très exigeantes sur les différents éléments constitutifs de la solution GSM-P d’Alcatel-Lucent. En effet, Alcatel-Lucent a dû se conformer aux exigences EHS (Hygiène, Sécurité et Environnement) relatives à l’utilisation de câbles rayonnants de nouvelle génération, notamment celles concernant la norme sur la fumée et le feu. Sans oublier les contraintes liées à la propagation des ondes sous le tunnel et à la couverture radio qui se sont avérées très complexes. Non seulement les trains occupent la plus grande partie du tunnel lors de leur passage mais ils agissent également comme de véritables "cages de Faraday", entraînant une pénétration du signal radio plus faible. Un traitement particulier des ondes a donc été nécessaire pour obtenir une bonne qualité de la transmission, en particulier à l’intérieur des shuttles. Enfin, les équipes Alcatel-Lucent ont dû proposer des solutions nouvelles pour que les différents systèmes radio puissent cohabiter dans le Tunnel (GSM-R, GSM-P et le Système « tactique » utilisé par les pompiers).
Ainsi, grâce au système GSM-P déployé par Alcatel-Lucent, les 3 opérateurs français (Orange, SFR et Bouygues Telecom) sont désormais en mesure d’offrir à leurs clients un accès ininterrompu aux services GSM et 3G dans le tunnel ferroviaire Sud (sens France/ Grande-Bretagne). Les abonnés Free Mobile devraient aussi profité de la connexion compte tenu de l’accord d’itinérance avec Orange. Le tunnel Nord (sens Grande-Bretagne/France) sera couvert par les opérateurs de télécommunications britanniques après les Jeux Olympiques.
L’Arcep a publié hier soir un dépliant didactique à l’attention des collectivités territoriales qui a pour but de faciliter la mise en place d’une terminologie commune sur le déploiement de la fibre optique jusqu’à l’abonné.
Ainsi, le régulateur souhaite que les collectivités, les opérateurs et l’Arcep utilisent les mêmes concepts et les mêmes termes sur la fibre optique.
Il s’agit d’un glossaire terminologique à l’attention des collectivités qui reprend les principaux termes liés au déploiement du très haut débit. On y retrouve le vocabulaire le plus connu comme le point de mutualisation ou encore la zone arrière : l’ensemble de logements ou locaux à usage professionnel ayant vocation à être raccordés au point de mutualisation.
Pour illustrer son glossaire sur la fibre, l’Arcep a choisi le panneau arrière de la Freebox Révolution, sa connectique fibre optique. Retrouvez le document à cette adresse.
Avec l’arrivée de Bein Sport dans le paysage audiovisuel sportif de Canal +, la chaîne cryptée « doit faire face à une concurrence féroce, plus sérieuse qu’elle ne l’a été par le passé avec Orange Sport. La chaîne doit désormais s’adapter pour garder un modèle économique pertinent", estime l’économiste du sport, Christophe Lepetit.
Vendredi, la jumelle de BeinSport 1 fera ses premières armes à l’occasion de l’ouverture des Jeux Olympiques et du début de la Ligue 2. Cette deuxième grille, complémentaire de BeIN Sport 1 pour 11 euros par mois, permettra à la chaîne de diffuser y compris en multi canal l’ensemble des droits de diffusion acquis.
Du coup, Canal + a été contrainte d’opérer un recentrage stratégique. "L’arrivée d’un concurrent nous a poussés à nous poser les bonnes questions en proposant non l’intégralité d’une thématique mais le meilleur, comme Canal le fait déjà pour le cinéma et les séries", a assuré le directeur des sports du groupe Canal+, Cyril Linette, dans un entretien à l’AFP.
A la rentrée, Canal+ diffusera chaque week-end, en direct, les deux plus belles affiches de la Ligue 1 le samedi après-midi et le dimanche soir, de même que les 13 meilleurs matches de la Ligue des champions, dont la finale. BeIN Sport, qui dispose de 100% de ces compétitions, devra attendre le dimanche minuit pour diffuser en différé les deux matches du week-end détenus par Canal+.
La direction de Canal+ dit ne pas craindre les désabonnements : "80% de notre parc d’abonnés s’intéressent avant tout aux grands moments de sport et ne manqueront aucun des grands matches. Les 10 ou 20% restant, hyper fans de sport, peuvent effectivement nourrir leur satisfaction par le biais d’une offre complémentaire. Mais ils ne se passeront pas des meilleurs matches", a assuré Cyril Linette.
Cela dit, les autres chaînes du groupe sont plus fragiles, "L’année prochaine sera cruciale pour l’avenir de Canal+ Sport et de Sport+, surtout si le groupe Canal+ perd les matches de Premier League anglaise de football ou les Masters 550 et 1000 de tennis, qui sont d’importants vecteurs d’abonnements", a ajouté Vincent Rousselet-Blanc.
Source : france24
Au Royaume Uni, le lancement de la 4G, du déploiement du Très Haut débit mobile se fait attendre et pour une fois, la France n’est pas la dernière. Le gendarme des télécoms britannique, l’Ofcom s’apprête à vendre aux enchères du spectre 4G LTE. D’ici la fin 2012, il lancera les enchères et réservera même un lot de fréquence à un quatrième opérateur histoire d’ouvrir la voie au déploiement 4G en 2013. Les enchères porteront sur l’équivalent de trois quarts des fréquences du service mobile en usage.
Elles porteront sur deux bandes de fréquences distinctes – 800 MHz et 2,6 GHz. Selon l’Ofcom, la bande de fréquence inférieure fait partie du dividende numérique. Comme en France, l’appel d’offres des réseaux sur le spectre sera également lié par certaines obligations comme l’obligation de couverture pour la réception à l’intérieur d’au moins 98% de la population du Royaume-Uni d’ici la fin de 2017 au plus tard. Le régulateur britannique souhaite également faire bénéficier aux consommateurs des meilleurs services à des prix inférieurs.
Un quatrième entrant pour de meilleurs services à prix inférieurs :
Pour cela, l’Ofcom souhaite vivement l’arrivée d’un quatrième opérateur s’inspirant peut être de l’exemple récent de l’arrivée de Free Mobile sur le marché français. En conséquence, l’Ofcom a décidé de réserver un montant minimum de spectre dans la vente aux enchères pour un quatrième opérateur. "Cela pourrait être soit Hutchison 3G [société mère de 3UK] ou un nouvel entrant » a déclaré l’Ofcom
Source : tom’shardware
Nous vous indiquions hier du déploiement d’un nouveau firmware pour la Freebox Révolution Player corrigeant notamment l’accès aux disques uPnP. Cette nouvelle mise à jour apporte également une nouveauté concernant la programmation des enregistrements ou plus précisément la mise en place d’une marge horaire permettant ainsi de ne plus rater une minute de son émission préférée.
Finit le temps où il fallait manuellement indiquer les minutes supplémentaires afin d’être sûr de ne pas manquer son programme. Désormais, les freenautes qui disposent d’une Freebox Révolution peuvent entrer une marge de plusieurs minutes par défaut pour leurs enregistrements. Rendez-vous dans la rubrique réglages puis dans le menu télévision et enfin dans « Gestion des enregistrements ».
Vous pouvez entrer une marge de 0 à 60 minutes par tranche de 5 minutes. Notez que par défaut, les marges sont désactivées.
Le Conseil supérieur de l’audiovisuel a procédé hier, en présence des représentants des chaînes, au tirage au sort destiné à attribuer leur numéro aux six nouvelles chaînes gratuites de la TNT qui seront diffusées en haute définition à partir du 12 décembre 2012.
Ces numéros, qui suivront ceux des télévisions nationales gratuites existantes, numérotées de 1 à 19, sont :
N° 20 : HD1
N° 21 : L’Equipe HD
N° 22 : 6ter
N° 23 : Tvous La Télédiversité
N° 24 : RMC Découverte
N° 25 : Chérie HD
Les chaînes ont la possibilité, jusqu’à vendredi 27 septembre, de proposer au Conseil des échanges de numéros.
Avec cette nouvelle numérotation, les chaînes locales et les chaînes payantes ont été décalées à la dizaine supérieure. Les chaînes locales passeront ainsi aux numéros 30 à 35 et les payantes aux numéros 40 à 49.
Nous vous l’annoncions, la mise à jour Freebox Player 1.2.1 est désormais disponible, pour en profiter, veuillez redémarrer le Freebox Player.
Attendu par les Freenautes qui rencontrent des problèmes avec la télécommande de la Freebox Révolution ou l’UPnP depuis la dernière mise à jour du Player,ce nouveau firmware corrige le bug de l’UPnP et permet de définir des marges autour des enregistrements.
Corrections :
Rotation permanente du lecteur Blu-Ray (#10401)
Accès aux disques uPnP (#10298, #10289)
Blocage sur ‘Lecture de la version du firmware’ (#10347, #10518)
Contrôle parental sur les Blu-Ray/DVD (#7170, #9235, #9711, #10131)
Support de l’AC3 dans certains fichiers AVI (#10266)
Possible blocage du menu dans l’interface TV (#10345)
Affichage du paramètre DRC incorrect (#10455)
Activité du ventilateur en veille (#10415, #10320)
Compatibilité avec les télécommandes universelles (#10288)
Mode muet inactif en passthrough (#10517)
Support du Logitech Unifying Receiver (#10296)
Sélection du France3 local (#10514, #10481)
Réactivité de la télécommande radio (#10422, #10319, #10291)
Améliorations :
Possibilité de définir des marges autour des enregistrements (#5767)
Avant même d’être sur le terrain judiciaire, le sujet du subventionnement du mobile devient de notoriété publique. Free a en effet attaqué SFR sur ce terrain reprochant à l’opérateur une concurrence déloyale. Bonne aubaine ou pas, le cabinet Cepheid Consulting a fait le point sur le sujet et souligne l’opacité du dispositif et surtout ses abus dans certains cas.
Selon ZDnet, cette étude n’a pas été commandée par Free Mobile (pour étayer sa plainte) ou par un autre acteur du marché. Il s’agit cependant d’une analyse réalisée suite à l’annonce de la plainte du nouvel entrant.
"Les opérateurs n’ont pas toujours été les champions de la lisibilité tarifaire, et il a longtemps été difficile de distinguer dans le prix de l’abonnement la part du service et la part du terminal. Cependant, la mise en œuvre d’offres sans engagement, SIM only, ou encore découplant le prix de l’abonnement du prix du mobile a installé plus de transparence, même si l’arrivée de Free a radicalisé l’approche", souligne Issam Balaazi, analyste dans ce cabinet.
Le cabinet note que le client ne connait jamais la part de subvention sur sa facture et il est fréquent que le système perdure même si les sommes sont déjà remboursées. Clairement, la part réservée au subventionnement continue au delà de deux ans ce qui amène le client a remboursé plus que nécessaire sans qu’il le sache.
Le principal abus se retrouve dans les forfaits subventionnés avec un terminal d’entrée de gamme. Pour preuve, SFR, l’opérateur attaqué par Free, propose un abonnement de 24 mois à 13 euros par mois, le mobile ’S by SFR 116’ est facturé 9,90 euros. Le même abonnement proposé à 10 euros par mois est associé au même terminal mais vendu 24,90 euros.
"Dans cet exemple, si nous parlions de taux d’intérêt, nous distinguerions un client avec un « capital » initial de 9,90 euros d’un client avec un apport de 24,90 euros ce qui reviendrait à lui proposer un financement de 15 euros sur une période de 24 mois avec une mensualité de 3 euros par mois : le taux d’intérêt pratiqué serait alors de 237%… Ce qui pourrait effectivement être qualifié « d’abusif » pour un taux d’intérêt", avance Cepheid Consulting.
Ainsi, la remise à plat des subventionnement permettrait de changer les habitudes des consommateurs et faciliterait les résiliations car ce sont bien les subventions qui sont la force des opérateurs historiques : 90% des mobiles vendus en France le sont.
Source : Zdnet
Nous vous informions ce matin de l’intérêt pour Fleur Pellerin de regarder de près le système de subventionnement du mobile opéré par les trois opérateurs historiques. Une nouvelle qui doit faire plaisir à Free qui vient tout juste d’attaquer SFR sur ce sujet.
« Il n’est pas question de revenir sur la gratuité de l’assistance téléphonique, ni sur celle du temps d’attente » a déclaré Fleur Pellerin, la ministre déléguée à l’Economie numérique, dans un entretien paru ce mardi dans « Le Parisien. » En revanche, la ministre compte bien regarder de près le système de subventionnement mobile jugé opaque par l’UFC Que Choisir.
Pas de remise à plat de la loi Chatel à l’ordre du jour même si rien n’est exclu pour autant. En attendant les éventuelles décisions, le gouvernement se laisse le temps du regard et a lancé une concertation sur ce thème avec l’ensemble des acteurs, opérateurs et consommateurs et fera des propositions à l’issue de celle-ci.
Un document de synthèse sera confié au Comité stratégique de filière « services et technologies de l’information et de la communication » (CSF STIC) issu de la conférence nationale de l’industrie. Selon les informations de La Tribune, Bercy va également saisir le Conseil national de la consommation (CNC) sur le train de mesures envisagé pour la rentrée.
Au final, pour redresser la barre de l’emploi du secteur des télécommunications, le gouvernement ne va pas faire payer au consommateur la hotline, ne reviendra pas, dans l’immédiat, sur la loi Chatel notamment sur le mécanisme de résiliation anticipée de la loi Chatel, qui permet de rompre son contrat de 24 mois au bout d’un an en ne payant qu’un quart du montant dû, et que les opérateurs voudraient voir supprimé.
En revanche, la piste la plus sérieuse semble concerner le subventionnement mobile ce qui pourrait faire l’affaire de Free qui vient d’attaquer SFR en justice sur le sujet. A Bercy, on considère que « la loi Chatel a eu un effet accélérateur sur le renouvellement des terminaux tous les 18 mois. » Dans son interview au « Parisien », Fleur Pellerin déclare que « le subventionnement des téléphones dans les forfaits pose un problème de transparence et de modèle économique. » D’autant que la ministre note que les terminaux ne sont pas produits en France et ne rapportent donc rien à l’industrie française.
En septembre dernier, Le Syndicat CFE-CGC France Télécom-Orange et le Syndicat national des télécoms SNT-CGC avaient attaqué plusieurs modalités d’application concernant la procédure de délivrance des fréquences 4G.
Outre les opérateurs (en particulier Free et Bouygues Télécom), les syndicats se sont montrés également insatisfaits de l’appel d’offre pour les licences 4G et ont contesté ce dernier devant le Conseil d’Etat. Ils reprochaient notamment l’obligation d’accueil d’autres opérateurs virtuels.
L’instance vient de rejeter le recours d’annulation des décrets de délivrance des fréquences dans les bandes des 800 MHz et des 2,6 GHZ désignant Orange, SFR, Free Mobile et Bouygues Télécom.
Elle rappelle que les autorités ont déjà définit les "droits et obligations des opérateurs attachés à chaque autorisation d’utilisation des fréquences qui sera attribuée". Le Conseil d’Etat estime que l’action des syndicats ne justifie pas "d’un intérêt leur donnant qualité pour former un recours pour excès de pouvoir à l’encontre des actes attaqués".
Face à la rumeur sur l’éventuel retour des hotlines payante pour le service après vente dans la téléphonie mobile, Fleur Pellerin a tenu a réagir à la polémique et a précisé que celles-ci resteront gratuite : "les acquis des consommateurs seront préservés".
Dans le contexte où SFR et Bouygues annoncent un plan de licenciement volontaire, le retour de la hotline payante pourrait permettre de garder les emplois en France.
Pour ce faire, Arnaud Montebourg, ministre du redressement productif a émis l’idée la semaine dernière que l’on pourrait préserver les emplois du secteur de la téléphonie en France si les consommateurs étaient prêts à mettre la main à la poche. "Pour 10.000 emplois relocalisés sur le territoire, ça coûterait en moyenne par forfait et par mois une vingtaine de centimes de plus pour les consommateurs. Donc est-ce que les consommateurs sont prêts à accepter une légère hausse de prix en contrepartie de la relocalisation d’emplois qui sont en train d’être détruits ? Cette question mérite d’être posée au plan national" a t-il expliqué sur France Inter.
Ainsi, le gouvernement pourrait mettre à contribution le consommateur pour garantir l’emploi dans le secteur mais sans revenir sur les acquis : l’exercice semble compliqué. Ainsi, Fleur Pellerin revient sur l’intervention de Luc Chatel dans les colonnes de Le Parisien qui a estimé que "Les socialistes défendent les intérêts des grands opérateurs… face aux consommateurs". Fleur Pellerin a précisé qu’une remise à plat de la loi Chatel n’est pas à l’ordre du jour.
En revanche, la ministre s’intéresse vivement au système de subventionnement du mobile et souhaite plus de transparence. Elle a lancé une concertation sur ce thème avec l’ensemble des acteurs, opérateurs et consommateurs et fera des propositions à l’issue de celle-ci. Elle a également estimé que les difficultés des opérateurs ne sont pas exclusivement liées à l’arrivée de Free.
Source : Aujourd’hui en France