Au printemps 2009, le gouvernement organisait une table ronde "radiofréquences, santé, environnement". Pour suivre les engagements de cette conférence, le gouvernement vient d’ouvrir un site internet dédié au sujet.
L’idée est de faciliter l’accès de tous à un panel de ressources documentaires disponibles dans le domaine notamment sur les effets sanitaires des radiofréquences. Le site donne également accès aux actions engagées par les pouvoirs publics, les expérimentations en cours sur les niveaux d’exposition et la concertation locale mais aussi les recommandations concernant l’utilisation des téléphones mobiles.
Vous pouvez aussi consulter l’intégralité des débats de la table ronde et suivre la mise en oeuvre des 10 orientations retenues par le gouvernement.
Les dix orientations du gouvernement :
Délivrer une information accessible au grand public
Déployer une communication auprès des élus locaux et des professionnels de santé
Prendre en charge de façon adaptée les personnes se plaignant d’hypersensibilité
Mettre en oeuvre une démarche de précaution proportionnée auprès des utilisateurs et des salariés
Assurer un suivi raisonné des niveaux d’exposition
Rénover le dispositif de contrôle des expositions
Faciliter le contrôle individuel des expositions
Renforcer les prérogatives des élus locaux
Rénover l’organisation de la recherche
Mettre en place un comité de suivi pour la mise en œuvre de ces actions
Le wifi, un danger pour la santé ?
La box adsl diffuse un signal wifi soumis, comme les autres installations radioélectriques, aux dispositions du décret du 3 mai 2002, relatif aux valeurs limites d’exposition du public aux champs électromagnétiques émis par les équipements utilisés dans les réseaux de télécommunication ou par les installations radioélectriques.
Dans le cas des radiofréquences, les effets biologiques observés sont des effets thermiques, c’est à dire une augmentation de la température des tissus. C’est pour prévenir ces effets que des valeurs limites d’exposition ont été élaborées.
Orange publie sa carte des zones couvertes par la fibre
Après Numéricable, Orange annonce qu’il vient de mettre à disposition du public toutes les cartes de couverture de ses services fixe haut débit et très haut débit sur l’ensemble du territoire y compris pour les départements d’Outre-Mer. Il est également possible d’évaluer pour chaque zone, le débit associé à chaque ligne. Ce service complète les cartes de couverture mobile et les cartes du pourcentage de la population couverte par le haut débit, déjà disponibles depuis plusieurs années. Cette carte est disponible sur : www.orange.com/collectiviteslocales/cartes
Sur le sujet de la neutralité du net, la Commission Européenne s’inscrit dans le débat et entend se focaliser sur "le comportement des opérateurs, et en particulier comment ils gèrent le trafic sur leurs réseaux", ainsi que ses effets sur "la liberté des citoyens sur internet, c’est-à-dire leur capacité à trouver ou donner de l’information, utiliser les applications et services de leur choix", selon le document de consultation.
Ainsi, la Commission a lancé une consultation publique qui sera ouverte jusqu’au 30 septembre. Elle doit permettre à la Commission de rédiger un rapport d’ici la fin de l’année évaluant si elle doit proposer des législations dans ce domaine.
"Certains s’inquiètent que l’ouverture du net, et ainsi ses bénéfices pour la société et l’économie, puisse être affectée si des opérateurs cherchent à traiter le trafic différemment, selon par exemple son origine, sa destination, le type de service ou de contenu transmis", commente la Commission.
Bruxelles attend de cette consultation des points de vue techniques et économique notamment en ce qui concerne la gestion du trafic et l’hypothétique remise en cause des libertés sur la toile.
La commissaire européenne chargée des nouvelles technologies, Neelie Kroes, a indiqué vouloir "procéder à un examen approfondi et très objectif de la situation, pour parvenir à un juste équilibre entre tous les intérêts et déterminer quelles sont, éventuellement, les nouvelles mesures à adopter".
Elle a prévenu qu’elle "ne soutiendrait aucune politique publique qui pourrait menacer la liberté d’expression".
Le 20 mai, l’ARCEP a lancé une consultation publique sur ses éléments de réflexion et ses premières orientations sur la neutralité de l’internet et des réseaux, faisant suite à un vaste travail de concertation engagé depuis l’automne 2009. Afin de permettre au plus grand nombre d’acteurs d’y répondre, l’Autorité prolonge le délai de la consultation jusqu’au 13 juillet 2010 à 17h00.
Source AFP
Freebox TV Replay destiné à être payant en soirée ?
Nous vous rapportions hier que le nouveau service de télévisons de rattrapage lancé par Free, Freebox Tv Replay, proposait un pass « prioritaire » à 0,99 euro pour une soirée et 3,99 euros pour 1 mois.
Satellifax s’est penché sur la signification de ce pass. Si le service lancé par Free est annoncé comme gratuit, l’opérateur indique cependant que « compte tenu du très grand nombre de demandes entre 19h et 22h, nous vous conseillons d’activer un pass prioritaire qui vous garantira l’accès au service de toutes les chaînes et à toutes les heures ». Si pour le moment Freebox Tv Replay est accessible gratuitement aux horaires indiqués ci-dessus, Satellifax imagine qu’à termes, le pass prioritaire sera obligatoire pour bénéficier du service en soirée. Toutefois, M6 Replay, W9 Replay et Arte+7 devraient échapper à la règle puisque ces services ne proposent pas de s’abonner à ces pass.
La commercialisation de ces pass semble donc être le moyen pour Free de rémunérer les chaînes qui mettent à disposition leurs programmes sur Freebox Tv replay.
Au menu du zapping du 30 juin : Le gouvernement se serre la ceinture, le pouvoir corrompu selon S. Royal, N. Sarkozy à l’heure des promesses, Yannick Noah et l’équipe de France de foot, Boléro pour vuvuzelas, une forêt de la taille d’un terrain de foot dévastée chaque seconde sur la planète, la finale de Pékin Express…
Interrogé par le site "j’ai la fibre", Cyril Luneau, le directeur de SFR Collectivités (ex : LD Collectivités) a présenté sa stratégie d’avenir du déploiement de la fibre optique en France.
Pour le directeur de SFR Collectivités, sur le terrain des zones denses, les opérateurs s’accordent globalement pour le déploiement du très haut débit.
En revanche, sur les autres zones, "la messe n’est pas dite". Cyril Luneau est bien obligé d’affirmer qu’il n’y a pas encore une idée très précise du modèle économique destiné aux 80% de la population qui réside dans les zones moins denses.
SFR collectivités est le leader français des réseaux d’initiative publique avec une trentaine de réseaux dans son portefeuille selon le journaliste du site.
L’ARCEP vient de publier sa revue trimestrielle « Les Cahiers de l’ARCEP ». Dans ce numéro est proposée une interview de Xavier Niel, le cofondateur de Free, que l’ARCEP nous a autorisé à vous livrer en intégralité
Quelles sont les tendances de fond qui vont marquer les prochaines années ?
Sur le fixe, c’est assez simple : on raisonne dans une croissance sans fin des débits. Du coup, on voit arriver de nouveaux acteurs qui fabriquent des boitiers : le nouveau décodeur d’Apple, qui sort en fin d’année, la GoogleTV d’Android qui arrive prochainement, et les téléviseurs connectés. D’ici 15 à 20 ans, ces équipements auront fait disparaître le concept de box du marché français et il est vraisemblable que la télévision devienne un bien de consommation quasi « jetable ».
Parallèlement, il est tout aussi évident qu’on continuera à s’abonner à un opérateur pour accéder aux services et contenus fournis par ces boîtiers.
Et sur le mobile ?
C’est plus compliqué que sur le fixe car on a une capacité finie – le spectre – qui ne dépend pas des acteurs et qui ne correspond pas non plus à l’usage que souhaitent en faire les consommateurs. Actuellement, il n’y a pas encore de bonnes raisons de voir les trafics mobiles exploser, mais ça viendra avec des applications encore inconnues aujourd’hui. Cela dit, l’usage data en mobilité ne sera jamais aussi fort qu’en fixe – les terminaux ont des écrans plus petits qui ne nécessitent pas la même résolution. Mais l’absence de solution pour broadcaster les flux vidéo, qui condamne les opérateurs à l’envoi d’un flux partagé par la totalité des consommateurs, reste un problème majeur.
Quels seront les nouveaux usages dans le mobile ?
L’idéal, c’est d’avoir des applications qui marchent partout et le meilleur endroit pour ça, c’est internet qui rend le produit accessible de partout, sur tout réseau et sur tout support. Les modèles propriétaires d’aujourd’hui auront besoin de converger et la convergence naturelle, c’est le web ! Ce besoin de convergence de format est l’intérêt de tous, pour éviter des problèmes de position dominante et des condamnations.
Le problème de la numérisation de l’usage, c’est qu’elle crée des marques mondiales fortes. Je crois que nous n’éviterons pas la domination de trois ou quatre produits uniques mondialement très forts. Nous n’avons pas de moteurs de recherche nationaux forts comme Google, ni de eBay national fort non plus, et quand ils existent, ces services sont revendus très cher aux premiers qui deviennent des acteurs mondiaux colossaux très riches. Mais c’est le devenir économique ! Il y a dix ans, le monde était fini et Microsoft dominait tout le monde.
Aujourd’hui, Apple et Google se portent plutôt bien, et d’autres, comme Linux, progressent doucement, mais sûrement… L’acteur dominant d’un jour n’est plus le même le lendemain.
Mondialisation et dématérialisation ont revisité l’économie. Les positions dominantes qui existaient pays par pays deviennent mondiales !
Comment le marché mobile évolue-t-il ?
On tend vers une forfaitisation et une simplification des offres. On le disait déjà il y a quelques années et on paraissait ridicules. Il faudra toutefois résoudre un problème : sur le marché français, on a offert la data – chère à produire – et on a vendu cher la voix – gratuite à produire -, ce qui est catastrophique. Un beau matin, les opérateurs mobiles devront revenir en arrière. C’est d’ailleurs ce qu’ils font un peu partout dans le monde en créant une référence de marché avec des forfaits, globalement illimités, entre 100$ et 100€. Mais dépenser l’équivalent d’un mois de SMIC chaque année pour de la data et du téléphone illimité, ça reste un prix pas très grand public !
Dans tout ça, qu’est-ce qui est bénéfique pour le consommateur ? Prenez un produit comme l’iPhone : il est révolutionnaire en lui-même, mais il ne l’est pas par son prix, ni par son mode de distribution. L’iPhone ne touchera que 5 à 10% de la population mondiale, car ce n’est pas un produit grand public. Or, un opérateur a besoin de toucher toutes les couches de la population. Il a plusieurs moyens de le faire : soit en segmentant les offres pour extraire le maximum d’argent aux consommateurs, soit en estimant que, globalement, il y a un prix « juste », un prix de marché dans lequel il inclut tout, et il rend cette offre unique disponible pour tout le monde. Le plus important, finalement, c’est d’être capable d’amener le progrès à tout un chacun, et de partager cette valeur en trois, entre ceux qui la créent – les salariés de l’entreprise les consommateurs et l’investissement.
Voyez-vous des ruptures dans les modèles économiques ?
Globalement, sur le mobile, on constate un basculement vers les vendeurs de terminaux. Aucun opérateur n’est capable d’inventer un équipement aussi attractif pour le grand public qu’un terminal Apple ou Androïd. Ils n’ont ni l’expérience, ni la masse critique, ni le marché.
Sur le fixe comme sur le mobile, la révolution viendra de ceux qui seront capables d’inventer des terminaux disruptifs comme l’iPhone, et de les vendre directement sans passer par l’opérateur, tout en se faisant rémunérer pour reprendre une petite marge sur la vente de l’abonnement. Les opérateurs deviennent des vendeurs de tuyaux, ce qui n’est pas très attirant, mais, après tout, c’est leur métier. Ils resteront protégés des incursions dans leur business par les investissements capitalistiques, très lourds, qu’ils doivent faire. Les opérateurs ont une autre vraie chance : ils sont présents dans tous les foyers. Bref, ils resteront incontournables
A compter du 1er septembre prochain, la chaîne du groupe AB, Ciné First arrêterait sa diffusion.
Une information non confirmée par le groupe AB mais pourtant présente dans le dernier AKTU à la page 49 dans la rubrique "Infos pratiques".
Le groupe propose plusieurs packs sur le bouquet ADSL de la Freebox :
Le pack tout AB vous donne accès à la chaîne Mangas, Animaux, toute l’histoire, Encyclo, Escales, Chasse et Pêche, Ciné Polar, Ciné FX, Action, XXL et Ciné First pour un abonnement à 11, 99€.
Le pack AB est une version allégée de l’offre précédente reprenant les chaînes Mangas, toute l’histoire, Encyclo, Chasse et Pêche, Escales et Animaux pour 5, 99€ par mois.
AB Ciné propose Ciné Polar et Ciné FX pour 2, 99€ par mois.
Ciné Chic ajoute les chaînes Action et Ciné First dans son bouquet pour 2€ de plus par rapport à l’offre AB Ciné.
Ciné Choc propose les programmes du bouquet précédent et ajoute la chaîne XXL pour 9, 99€ par mois.
En nouveauté, la chaîne Mangas est accessible à la carte pour 1, 99€ / mois tout comme la chaine XXL à 4, 99€ par mois.
Nous avancions l’idée, il y a quelques jours, que le manque de communication des opérateurs autour de la fibre optique pourrait être une des causes d’un faible abonnement au très haut débit.
Satellifax, le quotidien de l’audiovisuel, nous informe que Numéricable vient de se rapprocher de la société Covage, une entreprise spécialisée dans les réseaux Très Haut Débit (THD) au service des collectivités locales pour la mise en place d’un site d’information, www.territoirefibre.fr, sur le très haut débit.
A ce partenariat figure aussi le fabricant de en fibres et câbles optiques Draka en tant que partenaire technique.
L’idée est de "rendre accessibles leurs compétences à l’ensemble des collectivités locales, de la commune à la région, en passant par la communauté de communes et la communauté urbaine, et leur faciliter le déploiement du THD sur le territoire" ont expliqué dans un communiqué les trois partenaires.
Source Satellifax
M6 vous propose de programmer votre soirée Kaamelott
Cet été, M6 a décidé de mettre en place 5 soirées spéciales autour de la série à succès Kaamelott qui a été largement diffusée sur l’antenne.
Une nouvelle qui va ravir les fans de la série d’Alexandre Astier, le roi Arthur, puisqu’ils vont pouvoir choisir leur personnage préféré en votant sur le site M6.fr.
Chaque internaute a ainsi la primeur de choisir son personnage préféré qui sera mis à l’honneur dans l’une des 5 soirées programmées. Une occasion de découvrir ou de redécouvrir la série culte.
Le samedi 17 juillet, à 20h40, M6 ouvre cette série de soirées spéciales avec la présence de l’ensemble des personnages (du livre 1 au livre 5). Les 5 soirées seront construites autour des personnages plébiscités par les téléspectateurs et les internautes.
Il faudra encore attendre pour voir le roi Arthur se faire détrôner par sa femme, son beau père ou encore par Lancelot…
Le 17 juillet prochain, vous pourrez retrouver les acteurs de la série parmi : Christian Clavier, Alain Chabat, Emma de Caunes, Virginie Efira, Roland Giraud, Géraldine Nakache, Axelle Laffont, Yvan le Bolloch’, Patrick Bouchitey, Bernard Le Coq, Emilie Dequenne, Lorànt Deutsch, Laurent Gamelon, Claire Nadeau, Bruno Solo, Elie Semoun, Georges Beller, Guy Bedos…
– Boomerang et Boing passent à 0,99€/mois, mais incluent désormais le service de TV de rattrapage, accessible depuis le service Freebox TV Replay.
Dans le même registre, Boing est une chaîne principalement dédiée aux enfants. Elle diffuse entre autre : Le laboratoire de Dexter, Nom de code Kids Next Door, Robotboy, Samurai Jack, Superman, La ligue des justiciers et tous les personnages de Cartoon Network.
– Pack MCM :
Le pack MCM va changer de tarification pour le tarif de 2, 99€ par mois au lieu de 1, 99€ par mois à l’heure actuelle.
– Guysen TV & et The Israeli Network :
Désormais, retrouvez Guysen TV et The Israeli Network sur les canaux 612 et 614.
France 24 présente son nouveau service de Catch-up TV lancé sur la Freebox
France 24 annonce son lancement aujourd’hui sur la plateforme Freebox TVREPLAY, le nouveau service de télévision de rattrapage (catch-up TV) développé par Free.
Tous les abonnés aux offres Freebox et Alicebox équipés de la dernière génération de décodeur HD, pourront accéder sans surcoût et à la demande, à l’ensemble des programmes proposés sur l’antenne française de FRANCE 24.
Répertoriées dans quatre catégories principales – grands reportages, culture, entretiens et débats, magazines – toutes ces émissions seront accessibles jusqu’à deux semaines après leur première diffusion sur FRANCE 24.
Chaque jour, les utilisateurs de ce nouveau service auront la possibilité de parcourir les journaux du monde entier grâce à la revue de presse de Stanislas de Saint-Hyppolite, découvrir tous les reportages réalisés aux quatre coins du monde par les journalistes de la chaîne, et même revoir des débats et des entretiens avec les plus grandes personnalités internationales.
Vous pouvez d’ores et déjà accéder à ce service en vous rendant dans la rubrique « Freebox TV replay » dans le menu principal de la Freebox.
Le magazine des abonnés Free de l’été est disponible
Free vient de faire paraître le magazine numérique Aktu Freebox qui couvre les mois de juillet et d’aout. En couverture, on retrouve Sylvester Stallone à l’occasion de la sortie du film Expendable. FHV action consacre ainsi un spécial « cogneurs » ou sera disponible le making of du film ainsi que d’autres films d’action.
Vous retrouverez également dans ce numéro les dernières nouveautés de l’offre Freebox, en particulier les nouveaux services de télévision de rattrapage.
Suite à l’arrivée de Freebox Replay, le menu principal de la Freebox a été quelque peu modifié. En plus de la case « Freebox Replay » a été ajoutée une case « Services ». Celle-ci regroupe dorénavant les rubriques Freeplayer, Télésites ainsi que l’accès au guide des programmes, auparavant disponibles dans le menu principal.
Freebox TV : En juillet, Mezzo Live HD sera en clair
Cette été, les freenautes vont pouvoir développer leur fibre mélomane…
Mezzo Live HD, diffusée sur le canal 69 du boitier HD, vous propose le meilleur des festivals de musique, en clair, pendant tout le mois de juillet !
La chaîne Mezzo Live HD permet de restituer au plus près l’émotion musicale : l’attaque d’un archet sur la corde d’un violon, le jeu d’acteur d’un chanteur à l’opéra ou la complicité d’un chef avec son orchestre.
Outre une qualité de son exceptionnelle, la Haute Définition révèle des détails imperceptibles au concert ! La différence avec la définition standard est impressionnante, la réalité et l’émotion du spectacle vivant n’ont jamais été aussi proches.
Annoncé ce matin, le service Freebox TV Replay est désormais disponible sur la Freebox. Une nouvelle case est ainsi apparue dans le menu principal de la Freebox.
Pour le moment 21 chaînes sont disponibles, sur 2 pages dédiées (M6, ARTE, W9, Gulli, NRJ 12, Game One, NT1, France 24, LCP, RTL9, AB1, AB Moteurs, Odyssée, Motors TV, Escales, Chasse et pêche, Toute l’histoire, Encyclopedia, Animaux, Boing, Boomerang et TCM) en plus de Canal+ à la demande déjà présent dans l’offre. A noter que la plupart de ces chaînes de catch-up TV sont lancées en exclusivité sur l’offre de Free.
Au programme du zapping du 29 juin : Nicolas Sarkozy achète lui-même son dentifrice, F. Baroin balance sur A. Montebourg et N. Mamère, M. Cymès a manifestement une dent contre R. Domenech, qu’y a t-il vraiment dans nos assiettes ?, les Français, l’amour, le sexe et les sextoys…
L’été s’anime sur Canalplay sur la chaîne 102 de la Freebox TV. Le Méga Pass Kids est à moins 50% pendant la période estivale soit un abonnement par mois de 3, 49€ par mois pour cette période.
Dès septembre, l’abonnement mensuel est au tarif de 6, 99€ / mois.
Durant ces 2 mois, vous pourrez découvrir les inédits et le classique de l’animation japonaise, en particulier The garden of sinners 1 et 2 ou encore Gen d’Hiroshima 1 et 2.
Free Home Vidéo, le service de vidéo à la demande en abonnement mensuel de Free vous permet d’accéder en illimité à des univers thématiques contenant de nombreuses vidéos à regarder quand vous voulez et autant de fois que vous le souhaitez sur votre téléviseur.
En juillet et en août, FHV est accessible à 1, 99€ par mois pour son opération spéciale été, pour toute souscription d’un an aux forfaits FHV Start et FHV Full.
Pour la période estivale, FHV diffusera du soleil et du rire en VOD, en illimité en juillet et en août avec la série Friends, Two and a halfMEN, The Big Bang Theory (les geeks les plus drôless de la TV) mais aussi le festival de l’été via Warner TV, l’intégral de la saison 2 de MadMen…
Rappelons que l’offre FHV Start est disponible habituellement à 7,99 euros par mois et FHV Full à 11,99 euros par mois, pour un engagement d’1 an
La chaîne Secret Story arrive le 9 juillet sur Freebox TV
L’an passé, cette chaine ne proposait pas de live, mais des extraits d’émissions, déjà disponibles gratuitement sur Internet. Pour les aficionados de télé réalité, espérons que cette fois-ci, la chaîne Secret Story proposera de suivre réellement les candidats en direct.
Freebox TV : PureScreens HD nature gratuite en juillet
Pour ce mois de juillet, la chaine PureScreens HD nature est accessible gratuitement aux freenautes via le canal 129 de la freebox TV.
La chaîne PureScreens transforme votre écran TV en une fenêtre ouverte sur les plus beaux paysages du monde en Haute Définition.
La « première chaîne de télévision esthétique en haute définition » propose 24 h sur 24, sans publicité, une succession de plans de 10 minutes, tournés en caméras HD fixes.
Selon le principe de l’hyperréalisme, les images ne feront l’objet d’aucun montage et les vidéos conserveront les sons naturels. « La captation sonore se fait sur le lieu du tournage, afin de donner le sentiment d’y être »…
Freebox TV : Présentation des nouveaux services de catch-up TV
Free a annoncé ce matin le lancement de 33 services de télévision dans son offre TV. Petit démonstration de ce que seront ces nouveaux services. Sur Freebox TV Replay, les chaînes vous proposent chaque semaine, une sélection de leurs meilleurs programmes. Les émissions sont disponibles en visionnage pendant 7 jours, et cela à compter du lendemain de leur diffusion à l’antenne
Concernant l’accès à ces service, ceux-ci sont gratuits pour toutes les chaines inclues dans l’offre basique de Freebox TV. Pour les chaînes payantes, le service de rattrapage est réservé uniquement aux abonnés de ces mêmes chaînes.
Par ailleurs un pass est proposé en option. Il garantit un accès prioritaire aux programmes de toutes les chaînes entre 19h et 22h. (Pass "Soirée” 0,99€ et Pass "Mois" à 3,99 €).
Sur Freebox TV Replay, les chaînes vous proposent chaque semaine, une sélection de leurs meilleurs programmes. Les émissions sont disponibles en visionnage pendant 7 jours, et cela à compter du lendemain de leur diffusion à l’antenne.
Pour y acceder, deux solutions. Soit depuis le menu principal de la Freebox (touche Free), soit directement depuis la chaine concernée (touche info)
NB : A cette heure, le service n’est pas encore disponible
Canal + : Négociation difficiles en vue entre Vivendi et Lagardère
Les négociations s’annoncent tendues entre Vivendi et Largardère au sujet du rachat de la participation de 20% dans Canal + France pour un montant de 1, 35 milliard d’euros.
Une somme qui ne tient pas compte de la trésorerie de la chaîne cryptée qui s’élève à 800 millions d’euros. Une ardoise que Lagardère peut déjà compter sur sa quote-part.
A ceci près que Vivendi, propriétaire de 80% de Canal + France, ne veut pas débourser la somme demandée.
Si ce dernier refuse cette transaction, le groupe d’Arnaud Largardère a deux choix :
Soit il conserve sa participation
Soit il s’engage dans un processus d’introduction en bourse de ses 20% comme lui autorise les accords de 2006 (apport des 34% de CanalSat par Lagardère à Canal +)
Yuseo vient de publier son observatoire de l’e-Performance qui mesure l’efficacité des sites web des fournisseurs d’accès à Internet. 800 internautes ont ainsi testé les 6 sites référents dans le secteur de l’Accès à Internet et la Téléphonie fixe : Bouygues Télécom, Darty, Free, Numéricâble, Orange et SFR.
Parmi les taches à tester il y avait : vérifier si le décodeur-enregistreur est compris dans l’offre triple play la moins chère ; vérifier si l’installation à domicile d’un accès triple play est inclus dans le prix ; faire la démarche de s’abonner à une offre Internet seul, etc…
Sur l’ensemble des tâches demandées, c’est les sites de Darty et SFR qui obtiennent les meilleurs résultats avec 59% de satisfaction. Le dernier FAI obtient un taux de satisfaction de 41 % sans qu’il ne soit précisé de quel FAI il s’agit. L’accès aux offres ne génère que 47 % de satisfaction, connaître un détail précis sur le contenu d’une offre fait tomber ce taux à 43 %.
« Sur la navigation et l’accès aux offres, les FAI sont particulièrement mauvais élèves. D’après les retours des participants à l’étude, il y a un problème de lisibilité des offres et de qualité de l’information, du niveau de détail et de précision. » indique Jean-Pierre Le Borgne le directeur de développement de Yuseo.
Free annonce l’ouverture de l‘offre de télévision de rattrapage (catch-up tv) la plus complète : Freebox TVREPLAY. Avec ce service de catch-up tv, les abonnés peuvent voir ou revoir les programmes de 33 chaînes dans les 7 jours qui suivent leur diffusion.
Ce service est accessible pour les abonnés aux offres Freebox et Alicebox équipés de la dernière génération de décodeur TV HD.
Freebox TVREPLAY est proposé sans surcoût, sous réserve de disponibilité, pour les chaînes accessibles dans le cadre du forfait. Les chaînes optionnelles proposent le service à prix inchangé (cf. liste ci-dessous).
L’accès au service se fait simplement depuis le menu principal de Freebox TV (touche FREE) en sélectionnant « Freebox TVREPLAY ». Les abonnés ayant souscrit à l’offre Multi TV bénéficient de la fonction sur plusieurs TV.
A partir du mois de juin les chaînes suivantes seront disponibles :
Basic :
M6
ARTE
W9
Gulli
NRJ 12
Game One
NT1
France 24
LCP
RTL9
AB1
AB Moteurs
Optionnelles
Odyssée
Motors TV
Escales
Chasse et pêche
Toute l’histoire
Encyclopedia
Animaux
Boing
Boomerang
TCM
Chaines disponibles à partir d’aout :
Basic :
BFM
Euronews
France 2
France 3
France 4
France 5
France ô
NRJ Paris
TV5
Optionnelles
MCM
Mangas
Du poker bientôt sur la Freebox, les paris sont ouverts
Selon Francis Merlin, spécialiste de jeux en ligne, le nombre potentiel des joueurs de poker en ligne régulier pourrait s’élever à 1,5 million pour un chiffre d’affaires de 300 millions d’euros en 2010 et de 500 millions d’euros en 2011. Et qu’on se le dise, Free ne compte pas passer à côté d’une si belle occasion. L’ARJEL (Autorité de régulation des jeux en ligne) a déjà attribué deux licences au groupe : une pour les paris sportifs, Chilipari.fr et l’autre pour le poker en ligne, Chilipoker.fr, toutes deux issues de la filiale Iliad Gaming SAS.
Free pourrait proposer prochainement les paris sportifs et le poker à travers la Freebox sous forme de portail. De la même façon que le service Astrologie.com (canal194), avec la possibilité de posséder un compte crédité via la facture Free (Free HA) ou par carte bancaire, et tout ceci, protégé par le code parental (la participation des mineurs pour les jeux en ligne est interdite).
Sources : AFP/Univers Freebox
L’offre Pigasse-Bergé-Niel confirmée pour la reprise du Monde
Le trio devra alors avancer 10 millions d’euros pour pallier les difficultés de trésorerie du Monde. Il devra aussi engager très vite des négociations exclusives sur la recapitalisation du groupe, elles devront absolument être conclues d’ici la fin de l’été.
C’est une première depuis la création du Monde, la Voix des rédacteurs laissera la place au trio Pigasse/Bergé/Niel, ils deviendront ainsi les actionnaires majoritaires.
Crédits photo : AFP
BFM TV, BFM et RMC viennent de remporter la chaîne Cap 24
Nous vous informions dernièrement du possible remplacement de la chaîne Cap 24 par CBFM.
Selon "La Lettre de l’audiovisuel", le groupe NextRadio TV vient de racheter la chaîne francilienne Cap 24 suite à la décision du Tribunal de Commerce de Paris.
Le groupe d’Alain Weill a donc eu la préférence de la justice puisqu’il avait fait une offre supérieure à celle de son principal concurrent, le groupe Bolloré.
NextRadio TV a présenté une enveloppe financière de 1, 5 million d’euros et propose de sauvegarder 12 des 15 emplois de la chaîne Cap 24. L’offre vise à lancer la chaîne CBFM destinée à produire des programmes d’information économique et financière mais aussi de l’actualité locale.
Le groupe Bolloré a présenté une enveloppe de 700 000 euros, AB Thématiques propose 300 000 euros et Premier Investissement offre 50 000 euros.
Selon Les Echos, les foyers français tardent à s’abonner au très haut débit. En effet, d’après le quotidien, pour 10 logements raccordés, on compte un foyer effectivement abonné.
En France, 80 000 logements bénéficient d’un abonnement fibre. Un grand écart qui surprend et déçoit le président de l’Arcep, Jean-Ludovic Silicani, en visite dans l’’agglomération de Pau.
Pourtant pionnière dans le domaine du très haut débit, la ville de Pau peine à transformer les foyers raccordés en abonnés. Dans l’agglomération, cela fait sept années que le réseau en fibre fonctionne.
Pour développer ce réseau, la ville de Pau a bâti une délégation de service public qui a récolté 7, 7 millions d’euros de fonds Feder européens et 1, 1 million d’euros de la région Aquitaine. La mise en place de l’infrastructure a été réalisée par l’entreprise Axione (groupe Bouygues).
La commune a laissé à la charge des opérateurs privés la gestion commerciale de l’infrastructure. Depuis 2007, SFR commercialise une offre Haut Débit ADSL à 34, 90€ par mois pour un débit avoisinant les 70 mégabits.
Avec un tel débit, les capacités de développement sont presque infinies. Le prix étant relativement bon marché, il ne semble pas être un frein.
Les raisons du faible engouement :
Dans la ville, on compte 10 000 abonnés pour 52 000 prises. Un constat d’échec pour la communauté de communes qui a investi 6 millions d’euros dans le déploiement de la technologie.
Au delà de ce constat, un conseiller municipal de Pau pointe du doigt SFR qui aurait peu investi dans le réseau : "SFR ne joue pas la migration. Il n’y a même pas de guichet unique : quand vous voulez être raccordé, ils vous renvoient vers leurs partenaires".
Ainsi, la collectivité et le délégataire ont décidé de réinvestir en vue de transformer l’architecture de leur réseau et envisageraient l’arrivée d’un concurrent comme France Télécom. L’idée est de louer la fibre optique déjà installée sur un contrat de 30 ans. Une durée qu’exigerait l’opérateur historique afin de maîtriser l’infrastructure. Un partenariat qui pourrait s’opérer dès 2011 en fonction du résultat des négociations entre les intéressés.
Dans ce cas, la responsabilité du faible engouement des habitants de Pau tiendrait de la responsabilité de l’opérateur de télécommunications.
A l’inverse, the Inquirer, estime que le cadre réglementaire français qui veut "tout réguler pour mieux diviser" ne favorise pas le développement du très haut débit en France. Les syndics, composés le plus souvent de séniors, ne sont pas forcement au courant des bienfaits d’un très haut débit. Le site avance aussi que le marketing ne suit pas.
A la vue des chiffres de l’Arcep, la fibre optique est en statu quo. On dénombre 860 000 logements éligibles pour seulement 75 000 clients FTTH. Un constat s’en doute amplifié par le manque de communication des opérateurs.
Aucune publicité ne vante encore la fibre d’Orange, de Free ou de SFR alors que leurs offres FTTH sont disponibles depuis plusieurs années. Les galères et les mésaventures des premiers abonnés FTTH ont par ailleurs pu freiner les ardeurs de certains internautes comme cela a pu être le cas à Pau (SFR) ou à Valenciennes (Free) semble-t-il.[Les Numériques]
Interview exclusive de Thierry Henry sur Canal +, un but anglais refusé à tort, l’équipe de France serait devenue cannibale selon Cantona, un accident spectaculaire lors du grand prix d’Europe de F1, Patrick Roy, roi du Hellfest, Drucker se lâche, le rubis sur pubis, la dernière de Star Mag… Voici le Zapping du 28 juin 2010 !
La Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet a approuvé vendredi deux décrets remis par la CNIL portant sur la labellisation des sites de téléchargement légal et la sécurisation de l’accès à Internet. [Nouvel Obs]
Avec la publication du décret de "négligence caractérisée" paru au Journal Officiel samedi, la Haute Autorité va pouvoir envoyer les premiers mails d’avertissement à l’encontre des internautes effectuant des téléchargements illégaux sur les réseaux P2P dès septembre.
Une arme qui s’ajoute à la possibilité, pour les ayants droit, de collecter les adresses IP. De ce fait, ils pourront saisir la Hadopi dès juillet.
Le décret relatif à "la négligence caractérisée" se définit dans le texte comme "le fait, sans motif légitime, pour la personne titulaire d’un accès à des services de communication au public en ligne de ne pas avoir mis en place un moyen de sécurisation de cet accès, d’avoir manqué de diligence dans la mise en œuvre de ce moyen".
Ainsi, le titulaire d’un accès internet dont l’adresse IP aura été flashée par les réseaux P2P pour du téléchargement illégal, par la société Trident Média Guard sera susceptible d’être passible d’une amende de 1500€ et une suspension de l’accès internet pour rapatriement illicite d’œuvres. Cette sanction intervient après que l’abonné ait reçu son quota d’avertissements.
En ce qui concerne la sécurisation de l’accès à internet, le décret ne précise pas les modalités et les moyens mis en œuvre pour sécuriser sa connexion.
Avec Free Wifi, certains freenautes peuvent, à juste titre, s’interroger sur la sécurisation de ce réseau. Il n’y a pas de craintes à avoir : le réseau Free WiFi étant distinct du réseau WiFi privé du Freenaute et chaque connexion étant sécurisé par des identifiants et une IP distincte, la confidentialité des informations transmises est assurée.
Le groupe Orange-France Télécom et Le Nouvel Observateur vont retirer leur offre de reprise du journal Le Monde, en concurrence avec celle du trio d’hommes d’affaires Bergé-Niel-Pigasse, quel que soit le vote du Conseil de surveillance du journal, a annoncé ce jour Orange.
France Télécom a indiqué maintenir son offre jusqu’au conseil de surveillance du Monde, qui se tient aujourd’hui, par respect pour les administrateurs du Monde.
Toutefois, les deux repreneurs ont convenus de retirer leur proposition à l’issue du conseil de surveillance du journal et quelle que soit la décision qui sera prise. Un engagement pris auparavant dans le cas d’un vote défavorable de la Société des Rédacteurs du Monde a expliqué l’opérateur historique.
France Télécom avait fait une proposition de reprise avec le patron du Nouvel Observateur Claude Perdriel et le groupe de presse espagnol Prisa qui détient 15% du journal.
La Société des Rédacteurs du Monde (SRM) s’est prononcée vendredi à 90,84% en faveur de l’offre de reprise du trio d’hommes d’affaires Bergé-Niel-Pigasse, mais la décision finale incombe au Conseil de surveillance du groupe.
Une fois le repreneur choisi, celui-ci devra avancer 10 millions d’euros pour pallier les difficultés de trésorerie du groupe de presse et engager aussitôt des négociations exclusives sur la recapitalisation qui se conclueraient à la fin de l’été.
Source AFP
Avicca : La mise en place d’une taxe pour le très haut débit et la séparation structurelle de l’opérateur historique.
Le président de l’Avicca, Yves Rome, propose dans un communiqué de presse, la mise en place d’une taxe sur le secteur des communications électroniques, avec une assiette large pour financer le très haut débit. Comme pour la taxe finançant l’audiovisuel public, le montant des dotations aux amortissements des équipements dont la durée est d’au moins dix ans pourrait être déduit par les opérateurs.
L’association revendique la séparation structurelle de l’opérateur historique et une remontée du capital public qui permettrait, selon une étude menée par la DATAR, de réorienter l’ensemble des revenus de la boucle locale cuivre pour passer à la fibre.
Pour l’ Association des villes et collectivités pour les communications électroniques et l’audiovisuel, les récentes règles de mutualisation de l’ARCEP auront un impact pour diminuer les coûts entre opérateurs privés sur la zone rentable, mais n’améliorent pas l’économie de la zone non rentable où, au mieux, un seul réseau aurait de toute manière été déployé. Cette zone non rentable couvre au moins la moitié de la population et coûtera environ trente milliards à desservir. Sous réserve, notamment, qu’il y n’y ait pas une forte concurrence entre le réseau cuivre et le réseau fibre, les revenus du nouveau réseau permettraient de couvrir les deux tiers des besoins financiers, le reste devant être subventionné.
Une ardoise de 30 milliards pour les zones non rentables :
Sans pouvoir vérifier ce chiffre, l’Avicca estime qu’il faudrait surement ajouter le coût d’éventuelles étapes de montée en débits, pour ne pas laisser creuser l’écart entre les zones fibrées et celles en attente.
Pour l’association, il faut mobiliser les fonds au plus vite dans le projet de déploiement de la fibre. Il restera tout de même des besoins de moindre importance comme le suivi de l’urbanisation en l’absence de mécanisme de service universel et les besoins de sécurisation liés à l’utilisation (télémédecine, maintien à domicile, services publics…) poussant à l’enfouissement des lignes aériennes, au bouclage…
L’Avicca estime que la mise en place d’une taxe sur le secteur des communications électroniques pourrait répondre aux divers besoins de financement : « Le secteur est dynamique, et la part des dépenses afférentes dans le budget des ménages et des entreprises ne cesse d’augmenter. Il serait possible que la taxe figure explicitement sur les factures, pour participer à la nécessaire pédagogie sur ce prélèvement. Il est de l’intérêt commun, y compris pour un habitant dans une zone dense fibrée, de pouvoir communiquer avec un contact en n’importe quel point du territoire ».
Déjà conseillé sur ce site, je me permet de relancer ceux qui n’ont pas vu ce téléfilm, sur la vie de Mme de Maintenon. Un rôle en or pour Dominique Blanc, tout en finesse, et Didier Sandre en Louix XIV évident. Une scénario bien travaillé, des décors sans faute de goût et une histoire qui a marqué l’Histoire de France.
DIMANCHE 27 JUIN 2010 / 20H40 sur ARTE
Les salariés du Monde votent à une large majorité pour l’offre de Xavier Niel et ses alliés
Après que le Bureau de la Société des rédacteurs du Monde se fut prononcé pour l’offre de Xavier Niel, Pierre Bergé et Matthieu Pigasse, c’est la SRM qui était appelée à voter hier en fin d’après midi. Et c’est à une large majorité qu’elle a choisi l’offre de Niel-Bergé-Pigasse, avec 90,84% des voix.
Dans un communiqué, Orange, allié de dernière minute au Nouvel Observateur pour la reprise du journal, a pris acte de la décision : « Orange, associé à ses partenaires des groupes Nouvel Observateur et Prisa, prend acte de la décision de la Société des rédacteurs du Monde (SRM) de rejeter son offre en choisissant l’offre concurrente, et réexaminera dès lundi, à l’issue du Conseil de Surveillance du Monde, la suite à donner à sa démarche.
Orange réaffirme la pertinence de son projet industriel, convaincu que les éditeurs de contenus et les opérateurs de réseaux ont vocation à nouer des partenariats ouverts pour défendre leurs intérêts mutuels dans le contexte de la révolution numérique. Si le numérique est une formidable opportunité pour tous, à commencer par les médias, son avènement fragilise l’industrie des contenus par le piratage et la captation de la publicité. Le projet industriel d’Orange et de ses partenaires, grands professionnels de la presse, propose une association d’intelligences qui s’appuie sur un modèle économique durable, seule garantie de l’indépendance et de la liberté de la presse. »
C’est maintenant au tour de Conseil de surveillance du Monde, où siègent à la fois représentants du personnel et administrateurs représentants des actionnaires extérieurs, de se prononcer lundi.
Iliad, au travers de sa filiale Iliad Gaming, avait obtenu, juste avant le début de la coupe de monde Fifa 2010, un agrément pour proposer des paris en ligne. Ceux-ci sont disponibles sur chilipari.fr, mais à cette heure, le site n’est toujours pas ouvert.
Depuis hier, Iliad gaming est également détenteur d’une licence lui permettant de proposer du poker en ligne, ainsi que l’a annoncé l’Arjel. Cette dernière précise toutefois que le titulaire de l’agrément ne pourra proposer une offre de jeux de cercle en ligne qu’à compter de l’entrée en vigueur du décret relatif aux catégories de jeux de cercle.
Contrairement au site de paris en ligne, celui proposant du poker est déjà ouvert puisque il s’agit de chilipoker.fr, déjà bien connu des amateurs de poker.
Au delà des sites dédiés, ces services devraient également être disponibles directement depuis la Freebox.
L’ICANN, qui contrôle l’accès aux noms de domaines, a donné aujourd’hui son accord de principe à la création des noms de domaines en .xxx, à l’issue d’une réunion à Bruxelles. La société ICM Registry demandait depuis 2004 à ce que le .xxx soit créé, mais les milieux conservateurs et religieux américains avaient pesé de tout leur poids pour que l’ICANN rejette cette demande.
Mais devant l’engouement que suscite cette extension (une étude indépendante a montré que 100 000 sociétés l’avait pré-réservée), l’ICANN aura finalement changé d’avis.
Il n’y a bien sûr aucune obligation pour les sites pornographiques à choisir un nom de domaine en .xxx et certains choisiront certainement de rester en .com, celui-ci étant souvent mieux référencé.
Les freenautes impactés par la panne des serveurs informatiques de France 3.fr
La mise à jour et l’actualisation du site France3.fr impacte les freenautes et les abonnés SFR qui souhaitent consulter le site de la troisième chaîne française.
La locale de champagne Ardenne semble la plus touchée par cette panne. France 3 annonce que les équipes techniques parisiennes travaillent actuellement sur ce "bug".
Trois jours après l’élimination méritée des Bleus du Mondial de la Coupe du Monde de FIFA 2010, Thierry Henry, l’attaquant de l’équipe de France de football, ancien capitaine, s’exprimera ce soir dans le Grand Journal de Canal +.
Thierry Henri a rencontré jeudi le président de la République sur le sujet de la débâcle des bleus et a reçu Michel Denisot dans la matinée à Barcelone (ville qu’il a regagné après son entrevue avec Nicolas Sarkozy).
Nicolas Sarkozy a demandé l’organisation "d’états généraux du football" pour octobre afin "d’apporter des réponses structurelles à des questions qui se posent depuis bien longtemps". "Le chef de l’Etat a demandé aux ministres de faire en sorte que les responsables tirent rapidement les conséquences de ce désastre. Il a demandé également aux ministres de veiller à ce qu’aucun avantage financier ne soit versé à l’ensemble de l’équipe de France". [communiqué de l’Elysée]
Au programme du zapping du 25 juin : Un match record qui dure 11h05 à Wimbledon, les bleus de retour en France, Roselyne Bachelot et ses contradictions, Tété et Dédé à Cuba, d’où viennent les bébés ?, à quand la retraite pour Foucault et Dechavanne, Melvil Poupaud aime la drogue, les dilemmiens et la géographie…
Freebox Recorder vient de subir une nouvelle mise à jour et adopte la version 1.6.2.
Pour rappel, la dernière rénovation a permis la mise en place de la chaîne "Coupe du Monde".
La dernière mise à jour apporte des améliorations sur la base de données qui est utilisée pour le stockage des informations du guide TV, les enregistrements, les chaînes… Celle-ci a donc été revue pour gérer de façon plus robuste les accès concurrents, notamment lors des mises à jour en tâche de fond.
Ainsi, le guide TV présente une interface plus réactive pendant le téléchargement de tâche de fond.
Cette dernière version permet aussi de corriger les problèmes de rafraichissement lorsque la liste du guide était vide. La confirmation pour quitter le module "Mes Enregistrements et Guide TV" est maintenant active et les cas de crash sur les accès concurrents à la base de données sont maintenant corrigés.
Les deux candidats à la reprise du Monde, Bergé, Niel et Pigasse d’un coté, Pedriel et Richard (Orange) de l’autre ont été auditionnés hier, durant 1h45 chacun, par la Société des Rédacteurs du Monde (SRM), l’actionnaire de référence du journal.
Selon Le Figaro, le conseil de gérance de la Société des rédacteurs du Monde aurait voté ce vendredi matin en faveur du projet du trio Pigasse-Niel-Bergé par onze voix pour et une abstention. Ce vote recommande donc à l’assemblée générale de la SRM, représentative des journalistes du quotidien du soir, de voter en faveur de l’offre BNP, au détriment de l’offre concurrente. Ce vote interviendra cet après midi.
Toutefois, ainsi que le précise le Nouvel Observateur l’association Hubert Beuve-Méry (HBM), sans représenter les personnels actuels du Monde, se serait, elle, prononcée en faveur de l’offre Pedriel-Orange-Prisa.
Pour le moment, il semble donc que Bergé, Niel et Pigasse soient les favoris. Au delà des 100 millions d’euros que proposent de mettre sur la table les trois hommes, ils se sont engagés à garder la totalité du personnel et de permettra à la SRM de garder une certaine forme de minorité de blocage dans les décisions qui concerne le journal.
Suite à l’information publiée par Satellifax, itélé nous a confirmé que la chaîne allait passer au format 16/9 à compter du 1er juillet 2010 sur tous les supports. C’était la dernière chaîne d’info et une des dernières chaînes de la TNT à ne pas encore avoir adopté le format large. Concernant le passage en haute définition, la chaîne nous a indiqué qu’elle ne pouvait nous annoncer aucun délai pour le moment.
A partir du 1er juillet, il ne restera donc plus que NT1 à ne pas encore être diffusée en 16/9 sur la TNT. Gageons que le rachat de la chaîne par TF1 fera évoluer les choses.
L’entente des opérateurs mobiles rendrait-elle le consommateur captif de son abonnement ?
Le cabinet d’avocats Baker & McKenzie vient de publier une note juridique sur l’entente des opérateurs mobiles français. Pour celui-ci, cette entente implique des répercussions sur l’économie et rend le consommateur captif de son abonnement mobile.
En 2005, le Conseil de la Concurrence devenu depuis l’Autorité de la Concurrence a sanctionné les 3 opérateurs mobiles (Orange, SFR et Bouygues Télécom) pour avoir échangé des informations stratégiques relatives aux nouveaux abonnements, aux résiliations mais aussi pour avoir conclu des accords afin de stabiliser leurs parts de marché autour d’objectifs définis en commun.
En 2006, une amende de 534 millions d’euros a été infligée aux 3 opérateurs. La Cour de Cassation a confirmé le grief d’entente sur la stabilisation des parts de marché.
Le 17 avril 2010, la Cour de Cassation a considéré que la Cour d’Appel a légalement justifié sa décision s’agissant de la démonstration des effets concrets des pratiques sur le marché mais a rejeté l’évaluation du dommage à l’économie. Elle a confirmé les amendes de 35 et 16 millions d’euros à l’encontre de SFR et Bouygues Télécom mais considère que les pratiques imputées à Orange ne sont pas la preuve d’un dommage à l’économie : ce n’est pas le seul fait de l’existence d’une entente.
Juridiquement, l’entente a été reconnue. Le cabinet d’avocat estime que cette entente a modifié la sensibilité de la demande au prix : "dans un marché fortement concurrentiel, le consommateur est sensible au prix car il peut réagir à une augmentation des tarifs en se reportant sur un concurrent ou en diminuant les quantités. A l’inverse, lorsque le consommateur est captif, la sensibilité de la demande au prix est faible".
De ce point de vue, le client serait captif de son abonnement et l’arrivée d’un concurrent annonçant des prix plus bas devrait "chagriner" fortement les 3 opérateurs.
Lors du colloque "Le citoyen au coeur de l’innovation locale" à Bordeaux, la secrétaire d’Etat à l’Economie numérique, Nathalie Kosciusko-Morizet a annoncé la mise en place "d’un tarif social, autour de 20 euros, pour une offre triple play probablement à la rentrée".
Organisé par la Ville de Bordeaux en partenariat avec le Conseil de l’Europe et l’université de Pau et des Pays de l’Adour, le colloque a pour objectif de croiser les perspectives offertes par le numérique avec les enjeux de la démocratie participative et de la citoyenneté. [AFP]
L’internet pour tous :
L’internet accessible à tous, voilà ce que vise le gouvernement en instaurant un tarif social. Déjà au début de l’année, le premier ministre avait annoncé, dans le cadre du plan très haut débit du gouvernement, son intention de voir les opérateurs proposer une offre à un "tarif social" avoisinant les 20 euros par mois.
Pour autant, le prix retenu et les expériences dans la téléphonie fixe et mobile jettent le doute sur l’efficacité d’un tel système. La somme de 20€, c’est 30% de moins que le tarif standard et les offres dites "low cost" existent déjà.
L’offre à bas prix d’Alice donnant accès à Internet, Téléphone et TNT n’a pas rencontré le succès escompté. En 2002, Free lançait ses premiers forfaits tout en un à moins de 30€/ mois. Poussé par l’offre du cablo-opérateur Numéricable qui a lancé le premier une offre à 19, 90€ pour l’accès à internet, le téléphone et l’accès aux chaînes de la TNT, Iliad a utilisé la marque Alice pour en faire de même. A l’inverse de Free, Numéricable s’est dit satisfait de son offre à moins de 20€.
Depuis 1997, le tarif social s’applique dans la téléphonie fixe et le mobile. L’abonnement France Télécom chute à 6, 49€ au lieu de 16€/mois grâce au fond de service universel. Cette offre est valable aux personnes qui perçoivent le RMI, l’allocation adulte handicapé, ou l’allocation spécifique.
Pour les personnes qui reçoivent le RSA (Revenu de solidarité active), Orange propose un forfait bloqué sans engagement de 40 minutes ou 100 SMS par mois, à 10 euros.
On ne peut pas leur enlever le fait qu’ils connaissent la musique… mais on peut aussi les trouver un peu chiant et un peu hermétique à certaines musiques, disons, plus populaires.
Si vous enlevez vos oreilles habituelles et si vous décidez de vous laisser bercer par d’autres rythmes, vous allez être emballés.
Au menu ce soir, Cuba, avec son cortèges de sons et d’artistes que le duo de choc va vous faire découvrir, avec un plaisir plutôt communicatif.
Jeudi 24 juin de 20h35 à 21h30 sur France 5
Sécurité sur internet : les enfants restent peu surveillés par leurs parents
01net consacre un sujet sur la sécurité des enfants sur internet. D’après l’étude réalisée par Symantec, les premiers responsables seraient les parents.
Dans son troisième rapport sur les usages et attitudes des enfants sur Internet, le fournisseur de solutions de contrôle parental, montre que les enfants restent peu surveillés par leur parents lorsqu’ils surfent sur le net.
En effet, 27% des enfants affirment que leurs parents n’ont aucune idée de ce qu’ils font vraiment en ligne (seuls 8 % des parents avouent leur totale ignorance) ; 67 % des parents affirment avoir défini des règles d’utilisation d’Internet à la maison, et 59 % estiment que les parents devraient avoir un contrôle total des activités en ligne des enfants (le plus fort taux d’Europe !) ; pourtant, moins de 44 % d’entre eux ont réellement mis en œuvre une solution de contrôle parental !
Et pourtant, plus d’un enfant sur deux (53%) affirme avoir déjà dû affronter une expérience négative sur internet.
Si la meilleure sécurité des enfants reste le regard avisé des parents, l’Etat a incité les FAI à mettre en place des logiciels de contrôle parental.
Angel, celui de Free, n’est pas uniquement réservé aux seuls Freenautes, il est accessible à tous et présente une interface minimale simplifiant l’utilisation et le paramétrage. Il a été reconnu numéro 1des logiciels gratuits de contrôle parental et 2ème tous logiciels confondus lors des tests effectués par Action Innocence en mars 2008. A ce jour, ZoneAlarm Internet Security Suite 2010 est le logiciel le plus performant selon le site Filtra.
Des "sièges de l’amour" dans les bus de Copenhague, un candidat en colère dans un dîner presque parfait, Stéphane Guillon lit sa lettre de licenciement de France Inter sur le plateau de M. Denisot, le directeur de Radio France Jean-Luc Hees s’explique, les bleus de retour en France… Voici le Zapping du 24 juin 2010 !
Orange annonce de meilleurs débits pour surfer sur You Tube
PcInpact annonce que les abonnés Orange devraient profiter d’un meilleur débit lors de la consultation des sites You Tube. La situation devrait aussi s’améliorer très prochainement pour la consultation des sites Mega Upload et Mega Vidéo.
En effet, l’opérateur a confirmé officiellement cette information : "Concernant les contenus YouTube, les négociations avec Google ont abouti à la mise en place d’une infrastructure d’interconnexion directe entre le réseau de Google et le réseau Open Transit International de France-Télécom, afin d’assurer dans les meilleures conditions la fluidité des contenus Google et YouTube pour l’ensemble des internautes Orange dans le monde".
Jusqu’à présent les abonnés du fournisseur d’accès à internet disposaient d’un débit de seulement 15ko par seconde lorsqu’ils consultaient les vidéos de You Tube.
Un désagrément qui devrait être bientôt finit puisque France Télécom a signé il y a une dizaine de jours un accord de peering avec Google, pour plusieurs dizaines de Go par seconde.
A l’origine du désagrément, le conflit qui oppose Open Transit (appartenant à Orange) et Cogent Communications, le fournisseur de services internet américain présent dans le monde entier interconnecté avec plus de 3100 FAI. La société américaine est une plaque tournante incontournable pour tous les opérateurs.
Si le problème de surf sur le site de You Tube devrait être réglé prochainement, en ce qui concerne les autres sites (Méga Upload et Mega Vidéo), rien n’est réglé même si un plan d’action ciblé est en cours.
Du côté des autres opérateurs, certains abonnés de SFR se plaignent de ralentissements similaires. Pour ce qui est des Freenautes, nous n’avons pas eu de retours en ce sens.
Makai, le documentaire qui pourrait être diffusé sur Canal + 3D
Makai est un documentaire nature à grand spectacle produit par la société Gédéon qui va être tourné en novembre sur la région de Madagascar.
Avec ses écosystèmes extraordinairement préservés, la région a retenu toute l’attention de Pierre Stine, le réalisateur du documentaire.
D’ici la fin de l’année, le réalisateur va mener une expédition dans cette région d’un accès très difficile pour rapporter des images qu’on nous promet sublimes.
Christine Cauquelin, la directrice des documentaires de Canal Plus a précisé : "Le film pourra être vu en 2D sur notre chaîne premium et, pourquoi pas, en 3D sur un canal dédié comme celui que nous avons ouvert pour la Coupe du Monde".
Pour vous donner une idée de ce prochain documentaire, voici le magazine Ushuaia qui a époustouflé le réalisateur.
.jpg)
![[Film] L’allée du roi](https://www.universfreebox.com/wp-content/uploads/2019/07/lalleeduroi-1200x0-c-default.jpg)
.jpg)
![[Musique] Tété où Dédé ?](https://www.universfreebox.com/wp-content/uploads/2019/07/tete-dede-1200x0-c-default.jpg)
