C’est ainsi que la commission européenne veut s’assurer que les aides public aillent bien aux délaissés du haut débit. Elle a rendu public aujourd’hui les grandes lignes de ses décisions visant à réduire la fracture numérique.
Concrètement, Bruxelles veut orienter les aides publiques "vers les zones où les opérateurs privés n’investissent pas", en distinguant entre trois types de territoires : les zones blanches, grises et noires.
Les zones noires, souvent urbaines et à forte densité de population, sont celles où il y a déjà au moins deux réseaux à haut débit concurrents. Bruxelles estime qu’aucune aide publique ne devrait y être accordée.
A l’opposé, les zones blanches, souvent rurales et peu peuplées, ne disposent encore d’aucun réseau haut débit, et Bruxelles y autorise généralement les aides.
Entre deux, les zones "grises" ne comptent qu’un seul réseau, généralement celui de l’opérateur de télécoms historique.
Bruxelles y admet sous certaines conditions une aide publique pour favoriser l’émergence d’un second opérateur, notamment si les offres existantes ne sont pas adaptées aux besoins de tous les utilisateurs ou trop chères, et si aucune autre mesure ne permet d’atteindre le même but.
Lire l’intégralité de la dépèche de l’AFP sur le site de l’AGEFI
Une offre jamais vue avec un tarif canon mais uniquement la 1ere année. Nous vous…
La police aux frontières (PAF) d'Hendaye a procédé à cinq arrestations visant un vaste réseau…
Profiter d’un nouveau numéro personnalisé, c'est possible sur la Freebox mais ça coûte cher. Peu…
Univers Freebox traite de l’actualité de Free et des télécoms et a toujours été un…
Amazon annonce le retour de ses Ventes Flash de Printemps, prévues du 25 au 31…
Non, le président de la République ne vous invite pas à échanger avec lui sur…