Le modèle de concurrence par les infrastructures prôné par la Commission européenne et l’Arcep (Autorité de régulation des communications électroniques et des postes) paraît plus adapté pour l’intensité de la compétition, la capacité d’innovation et la pérennité des opérateurs qu’un modèle de concurrence par les services. Il ne s’agit donc pas de remettre en cause ce modèle, même si l’investissement semble plus risqué pour les opérateurs alternatifs que pour Orange qui peut abondamment réutiliser pour ses déploiements les fourreaux hérités du monopole. Orange cherche d’ailleurs à éviter une régulation trop contraignante qui le forcerait à ouvrir ses réseaux à ses concurrents dans ce qu’il considèrerait être de trop bonnes conditions tant opérationnelles que financières.
En attendant, Orange peut tranquillement depuis deux ans déployer sa fibre au sein de ses fourreaux dans les principales villes de France. Deux ans, c’est aussi le temps qui s’est écoulé pour que les concurrents de Orange aient accès à une offre de fourreaux "acceptable" de la part de l’opérateur historique, et qui devrait enfin leur permettre de déployer leurs réseaux de fibre dans les villes.
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