Free Ligue 1 Uber Eats dévoile ses premiers chiffres et se montre très productif
Le nouveau service 100% Foot de Free n’a pas chômé, et l’opérateur dévoile des premiers chiffres pour son bébé qui “bouscule les conventions“.
“C’était un défi d’envergure“, et l’opérateur est plutôt content du résultat. Frédéric Goyon, le responsable éditorial de Free Ligue 1 Uber Eats est revenu sur les deux mois qui se sont déroulés depuis son lancement, et exprime toute sa satisfaction en dressant un premier bilan.
Car aujourd’hui, le service de Free compte bel et bien 500 000 utilisateurs, tous supports confondus (Freebox, Android et iOS), confirmant des informations de presse, mais ce n’est pas tout. Free Ligue 1 Uber Eats, c’est aussi “plus de 3000 clips vidéo envoyés en quasi direct” depuis la 1ère journée du championnat français et les 220 buts inscrits durant la compétition déjà disponibles en stand-alone.
De même, l’opérateur n’a pas lésiné sur la création de contenu : les résumés de tous les matchs et de toutes les journées ont été publiés, ainsi que 100 émissions pour 11 programmes originaux . Car loin de ne proposer que des extraits de match et des résumés, Free Ligue 1 Uber Eats a également lancé plusieurs contenus exclusifs d’analyse et de réflexion autour du ballon rond. On compte ainsi des podcasts, des interviews et des webséries variés comme U-Foot, Le Bureau des Stats, Flash Foot, Football Society, Cadré, Rookies, U19, Supercut, Zone Flash, En Vrai et Dédicace.
Le tout porté par ” une vingtaine de talents, issus du web ou de la télévision, au service d’une vision bienveillante du foot“, mélangeant ainsi nouveaux influenceurs et journalistes chevronnés. Une équipe comptant des “incarnants mixtes et issus de la diversité qui ressemblent aux fans de la Ligue 1“. L’occasion également de remercier les équipes de production, notamment Black Dynamite, la société de Thomas Thouroude ou Media 365, autre entreprise spécialisée dans l’audiovisuel.
Mais Free n’a pas l’intention de se reposer sur ses lauriers, Frédéric Goyon acceptant volontiers les critiques. “Tout n’est pas encore parfait“, affirme-t-il, conscient des bugs techniques restant et des limitations de l’application (notamment l’absence de notifications sur les Freebox), mais les développeurs travaillent d’arrache-pied et déploient de nombreuses mises à jour de l’application depuis son lancement.