Free Pro veut être un opérateur où “on se sent bien” en prenant à coeur la protection des données

Free Pro veut être un opérateur où “on se sent bien” en prenant à coeur la protection des données

La gestion et la protection des données sont une question centrale pour toutes les entreprises, dans un contexte “extrêmement mouvant”. Free Pro entend apporter une forme de sérénité à ses clients.

Lancé en 2021 avec un millier de clients, l’opérateur B2B de Free en compte désormais 70 000 et si l’aventure ne fait que commencer pour son directeur général Denis Planat, un cap clair a été trouvé. “Mon rêve, notre objectif devrais-je dire, est que la réponse de nos clients à la question « Pourquoi Free Pro ? » soit : « Je suis chez Free Pro parce que j’y suis bien. Les offres ou solutions sont au bon niveau du marché, protègent mes intérêts à bon prix et Free Pro est à mon écoute. »” explique-t-il.

Free Pro et par extension ses clients doivent se confronter à la problématique de la donnée. “S’agissant des ETI, des Grands Comptes et du Marché Public, nous avons une clientèle qui se frotte à des niveaux d’exigence de plus en plus poussés et à des problématiques de plus en plus complexes pour la gestion de leurs données” affirme Denis Planat, tandis que du côté des petites et moyennes entreprises, le choix a été fait de la simplicité et du “juste prix” pour les offres Free Pro.

Ainsi, le transport, l’usage et la protection des données des entreprises est une question centrale et l’opérateur entend accompagner ses clients pour “co-construire les solutions IT, cloud, télécom et cybersécurité de demain”. Y compris dans le cas où il ne s’agit que d’un choix volontariste et non d’une prise de décision stratégique. Pour se montrer à la hauteur, Free Pro a entamé l’instruction de son dossier SecNumCloud pour sécuriser sa solution de cloud privé en 2022 et veut rester à l’écoute de ses clients. Une stratégie qui porte ses fruits, puisque outre ses 70 000 clients, Free explique servir 25 % des entreprises du Cac 40 sur des besoins spécifiques et avoir multiplié son chiffre d’affaires par trois en trois ans.

Source : Le Figaro

Cet article a été repris sur le site Univers FreeBox