Faire payer les GAFAM n’est peut être pas la solution, Free n’en fait pas assez avec Oqee ? Vos meilleures réactions à l’actualité de Free et des télécoms
Univers Freebox traite de l’actualité de Free et des télécoms et a toujours été un espace où la communauté pouvait s’exprimer. Parfois, les réponses sont très drôles, ou très pertinentes, mais il faut se plonger dans les commentaires pour découvrir les bons mots de nos lecteurs. Nous vous proposons alors notre petite sélection dans ce “Best-Of”.
Oqee pour presque tous les abonnés Freebox, mais il reste une limite à faire sauter
La boucle est bouclée, il n’y aura plus de jaloux. Après les abonnés Freebox Pop, Delta et Révolution, c’est au tour des clients mini 4K de pouvoir profiter de l’application Oqee sur smartphones, tablettes, Apple TV et TV connectées. Une nouveauté qui concernera bientôt les abonnés Freebox HD, Crystal et One. Si beaucoup s’en réjouissent, d’autres déplorent cependant que l’utilisation d’Oqee sur d’autres supports que le mobile soient conditionnés à la connexion à leur réseau Freebox. Un point à améliorer peut être ?
Faire payer les géants du numérique pour l’utilisation de la bande-passante, une idée qui fait débat
Le leader du streaming prend beaucoup de place sur les réseaux d’Orange, Free, Bouygues Telecom, SFR. L’Arcep explique que 51% du trafic vers les abonnés en 2021 provient de 5 fournisseurs : Netflix, Google, Akamai, Facebook et Amazon.Netflix est clairement le plus gros consommateurs, avec environ 20% de la bande passante utilisée, vient ensuite Google et sa plateforme YouTube utilisent un peu plus de 10% de la connexion internet des Français.Il s’agit d’ailleurs de l’une des raisons pour lesquelles les opérateurs veulent faire payer les Gafam pour leur utilisation de la bande passante. L’Union Européenne est plutôt favorable au projet, notamment le commissaire européen au Marché intérieur, Thierry Breton, très engagé sur le sujet et préparant un projet législatif pour la fin de l’année en ce sens. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’au sein des Freenautes, l’idée fait débat.
Vague de nostalgie pour la fin d’un service Freebox
Désuet, le service Ring Back Tone de Free prendra fin le 30 septembre prochain. Un arrêt déjà effectif pour certains abonnés. C’est la fin de l’aventure après 17 ans d’existence. “Nous vous informons que nos services évoluent et, dans ce cadre, notre service Ring Back Tone s’arrêtera le 30 septembre 2022”, c’est par ce message laconique que Free annonce actuellement par mail à ses abonnés Freebox le clap de fin de cette option lancée en janvier 2005, une première alors en France. A cette annonce, les abonnés utilisant encore cette option ont partagé leurs expériences, plutôt cocasses.
Même s’il existe d’autres solutions pour éviter les appels indésirables…
Qu’est ce qui pourrait arrêter les opérateurs augmentant le forfait de leurs abonnés ?
10% de data supplémentaire sur un forfait dont l’enveloppe est déjà très fournie. La filiale du groupe Bouygues avertit en effet certains abonnés à son offre spéciale Black Friday lancée en novembre dernier, que leur facture va augmenter de 3€. En contrepartie, ils recevront 30 Go supplémentaires sur leur enveloppe déjà conséquente de 300 Go, qui était proposée initialement à 13.99€/mois. Il ne s’agit cependant pas de la seule modification apportée : le forfait anciennement uniquement 4G est passé à la 5G. Pour certains, cette pratique, bien que légale est rédhibitoire notamment à cause des inquiétudes qu’elle soulève quant à l’abus possible de la part des opérateurs l’utilisant.
D’autres préfèrent mettre de l’eau dans leur vin, arguant (avec raison) que le forfait reste encore très intéressant… Jusqu’à la prochaine augmentation peut être ?
Comment faire face aux malfaçons dans la fibre ?
Les chiffres sont pourtant bons. En 2021, les opérateurs ont rendus plus de 5.8 millions de locaux raccordables et 4 millions de français ont rejoint les rangs des abonnés fibre. A travers l’Hexagone, 72% des locaux sont raccordables et 50% des habitants dans ces locaux ont choisi la fibre, explique Laure de la Raudière, mais un problème vient jeter une ombre sur ce tableau au premier abord plutôt séduisant : la qualité du déploiement. “J’ai de plus en plus de mal à dire que ce chantier est une réussite“, reconnaît la présidente du régulateur des télécoms face aux nombreux problèmes rencontrés dans certaines zones. Certains n’hésitent pas à proposer des solutions sous forme de sanctions et de régulation très poussée.
Quand d’autres envisagent carrément une refonte en terme de gestion des réseaux fibre.