Raymond Domenech refuse l’intervention de certains chroniqueurs dans “L’Équipe du soir”
Au travers d’un documentaire, Raymond Domenech dit contester la venue de certains chroniqueurs sur le plateau de “L’Équipe du soir”.
Ce vendredi soir, Olivier Ménard présentait “l’Équipe du soir” sur la chaîne de L’Équipe comme à son habitude. Lors de l’émission, le journaliste Sacha Nokovitch a dédié quelques minutes de sa chronique sur les coulisses de l’émission programmée pour le lundi 21 février en prime time. Un extrait du documentaire réalisée à l’occasion de la 3000ᵉ édition de l’émission sportive, a été dévoilé ce soir là.
“Il ne veut pas que je sois en plateau“
Réalisé par Sébastien Tarrago et Jules Bian-Rosa, l’extrait montre comment Raymond Domenech, désormais associé de “L’Équipe du soir“, se permet de sélectionner les intervenants lors qu’il participe aux émissions. Le documentaire révèle que l’ancien sélectionneur des Bleus refuse la présence du journaliste Dominique Sévérac (Le Parisien) lors qu’il est présent. “J’ai compris que c’était presque contractuel. On ne pouvait pas se retrouver sur un plateau ensemble. Je ne peux pas faire l’émission, car c’est Raymond Domenech qui décide” s’exprime le journaliste.
“Il ne veut pas que je sois en plateau, car il n’aime pas ce que j’ai écrit dans ‘Le Parisien’ quand il était sélectionneur. Moi, je considère que ce que j’ai écrit à l’époque n’est ni plus méchant, ni plus violent qu’avec un autre ou que d’autres journalistes. C’est dommage parce que moi, je trouve que c’est un bon chroniqueur et un bon débatteur“, ajoute Dominique Sévérac. “Je ne sais pas si on a le droit de le dire. Mais lui, il le sait. Il fait partie de ceux à qui je ne dis pas ‘bonjour’. On ne nous verra jamais ensemble“, confirme Raymond Domenech, interrogé dans le documentaire.
“Je suis sympa, mais j’ai un peu de mémoire“
Après un retour sur plateau, Olivier Ménard a demandé à Raymond Domenech s’il allait s’exprimer. En effet, le chroniqueur a réagit et précise : “maintenant, c’est de notoriété publique. Qu’il se rassure, il n’est pas le seul ! J’en ai deux, trois comme ça. Je suis sympa, mais j’ai un peu de mémoire“.
Source : Pure Médias