Si les deux entreprises (ndlr : Bolloré et Free) ne font guère de publicité autour de cette expérimentation, c’est que la législation actuelle ne permet qu’une utilisation fixe et nomade de cette technologie même si, dans le cas de Free, la licence est beaucoup plus floue. En clair, il est possible à un utilisateur d’accéder à l’Internet haut débit en restant à l’intérieur d’une cellule WiMax. Dès qu’il quitte la zone de couverture, l’accès doit être coupé. Il n’y a donc pas de continuité du service entre les zones de couverture (« handover »).Free teste les équipements de Samsung, Alcatel-Lucent et Nokia.
Les débits obtenus par Bolloré atteignent 7 mégabits par seconde pour le téléchargement de données et 3 mégabits par seconde pour l’envoi de données. Des débits bien supérieurs à ceux affichés par les réseaux 3G et 3G+ actuellement… Du coup, les trois opérateurs mobiles, SFR, Bouygues Telecom et Orange, qui ont déboursé 619 millions d’euros pour acquérir leurs licences 3G, voient d’un mauvais oeil cette technologie et craignent la concurrence de ces nouveaux entrants qui ont obtenu des licences à moindre frais
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