Selon The Economist, “l’effet Niel” a contribué à faire de la France un paradis des start-ups
D’après l’hebdo britannique The Economist, l’investissement accru dans les infrastructures dédiées aux start-ups commence à payer en France. Et Xavier Niel en est l’un des principaux pourvoyeurs.
En effet, à en croire Dealroom qui observe les tendances de l’industrie de la technologie, 2,7 milliards d’euros ont été levés par les start-ups françaises en 2016 soit 590 levées de fonds au total, plus que n’importe quel autre pays européen. Cet essor permet ainsi à la France de réduire considérablement son écart sur le royaume-uni (3,2 milliards d’euros).
Une réussite étroitement liée aux nombreux incubateurs et écoles spécialisées dans l’entrepreneuriat.
Le quotidien britannique note enfin que ce bond spectaculaire résulte en partie de « l’effet Niel », le fondateur de Free a su insuffler aux étudiants l’envie et l’ambition de se lancer dans l’entrepreneuriat, de part certainement sa success story mais surtout aussi grâce à ses investissements dans la formation et l’accompagnement de start-ups, via son école 42 et prochainement avec le plus grand incubateur au monde qu’il finance, la Station F. Sans oublier son fonds d’investissement, Kima Ventures, très actif dans le secteur.