Reims
A Reims, l’accessibilité de la 4G est limitée entre le boulevard des Belges et le boulevard Albert 1er . Seul ce secteur dispose de débits descendants constamment au dessus de 30 Mbits, soit environ 5 % des connexions testées. Le coeur de ville présente des débits moyens entre 10 et 30 Mbits, quand le reste de la ville peine à dépasser les 10 mbits. Dans nos classements précédents, Reims a souvent été en queue de peloton.
Le Havre
Il fait bon être abonné Free Mobile quand on habite Le Havre. Plus de 3/4 des connexions, mesurés par les abonnés sur l’application Sensorly, sont repartis avec un débit supérieur à 30 Mbits. Avec seulement 3 % des connexions inférieures à 10 Mbits, la ville du Havre fait partie des villes disposant des meilleurs débits Free Mobile. Certains quartiers de la ville normande mériteraient néanmoins d’être testés de manière plus approfondie.
Saint-Etienne
Les pensionnaires du Stade Geoffroy Guichard peuvent se targuer d’être régulièrement en vert, y compris sur les cartes Sensorly. Un tiers des connexions, seulement, est en très haut débit mobile et, curieusement, c’est aux extrémités nord et sud de la ville que les connexions sont les meilleures. Le coeur de ville se partage donc entre connexions moyennes et lentes. Entre le boulevard Valbenoite et la rue Florent Evrard, la carte ne présente aucune donnée.
Toulon
Les bords de mer s’apprêtent à accueillir ses premiers baigneurs. Pour s’assurer que ces derniers puissent profiter de la 4G en faisant bronzette, les côtes Toulonnaises, notamment le port, affichent drapeau vert sur la 4G. Les connexions sont, en revanche, plus lentes et plus variables dès que l’on pénètre à l’intérieur des terres.
Grenoble
Grenoble dispose d’un des cœurs de ville les mieux couverts, avec une très large majorité de connexions supérieures à 30 Mbits. Logiquement, la vitesse de connexion s’amenuise à mesure que l’on s’écarte du centre-ville. Un bémol néanmoins : le secteur des universités grenobloises ne présente aucune donnée sur les débits accessibles dans le quartier étudiant.
Dijon
Il n’y a quelques chanceux à Dijon qui ont pu dépasser les 30 Mbits, entre le boulevard des Bourroches et le boulevard Maillard. Mais en dehors de ce point qui fait presque tache à Dijon, c’est la soupe à la grimace dans la ville Bourguignonne. Ils n’ont même pas la chance d’être majoritairement éligibles à des débits couleur moutarde, entre 10 et 30 Mbits, ces derniers représentants à peine le 1/4 des connexions, et sont concentrés autour du musée des Beaux-Arts. Les 3/4 restants restent sous la barre des 10 Mbits de débit descendant.
Angers
De Belle-Beille à Montplaisir, les Angevins ont tout pour être heureux, affichant des débits descendant majoritairement supérieurs à 30 Mbits. En revanche entre les Beaux-arts et Saint-Serge, la situation se détériore, jusqu’à devenir presque catastrophique entre la rue Volney et Deux-Croix Blanchet. Néanmoins, Angers affiche majoritairement de bonnes connexions sur l’ensemble du territoire angevin.
Nîmes
Si Nîmes manque encore de données pour confirmer une couverture et des débits excellents, pour le moment, la ville a pris le taureau par les cornes pour rentrer dans l’arène de la couverture mobile, et afficher plus de 3/4 de ses connexions au dessus de 30 Mbits. Si de nombreuses zones méritent encore d’être testées, les points rouges sont, pour le moment, très anecdotiques.
Le Mans
N’affichant aucune donnée ni couverture, la ville devra patienter un peu avant d’accéder à la 4G. Cette dernière ne dispose que 4 antennes Free Mobile et tout laisse à supposer qu’aucune d’entre elles ne activée sur cette technologie mobile.
En cliquant sur ce lien, vous pouvez aussi retrouvez les cartes des 10 plus grosses villes de France. Pour devenir testeur Sensorly, vous pouvez également télécharger l’application disponible sur iOS et Android en cliquant
sur ce lien. Cet article a été repris sur le site Univers FreeBox