Quand Maxime Lombardini se fend d’une tribune sur l’UMP
Paru aujourd’hui dans le quotidien Les Echos, Maxime Lombardini, délégué Général d’Iliad s’est fendu d’un billet qui, pour une fois, n’avait rien à voir avec la situation des télécoms.
Cette fois c’est sur le monde de la politique et plus particulièrement la reconstruction de l’UMP, un an après "sa primaire calamiteuse", que Maxime Lombardini s’est exprimé. Pour précision, ce sont les Echos qui ont affecté ce thème à Maxime Lombardini, ce n’est pas ce dernier qui a émis le souhait de donner son point de vue.
Maxime Lombardini évoque ainsi une primaire dont "l’inventaire n’a pas eu lieu" et un "non-débat d’idées "qui" n’a pas imposé un programme". Entre "Jean-François Copé" qui "tente sans convaincre de rassembler", les "quadras" qui "se sentent les épaules de De Gaulle en 1958", le patron d’Iliad distibue giffles, bons et mauvais points à l’UMP.
Mais Maxime Lombardini n’est pas resté muet sur la gauche au pouvoir, qualifiant même le gouvernement de "désemparé et qui peine à choisir une direction" et d’une "majorité parlementaire idéologiquement dispersée".
Un discours sans retenu et sans langue de bois pour le délégué général d’Iliad amené par ses activités dans les télécoms à rencontrer personnalités politiques de gauche comme de droite.